Merci d’avoir regardé la vidéo ! C'est grâce à ses abonnés et donateurs que Blast peut exister et rester indépendant. Nous avons besoin de VOUS pour continuer : www.blast-info.fr/soutenir
@@Johnny_T779tu t'en rends juste compte, maintenant, il y en a partout tout le temps, et difficile de tous les signaler, car beaucoup respect les règles, de ne pas mettre directement des liens, il faut aller sur leur canal, et aller voir leur compte, donc en soi ils respect les règles de youteub, parcontre il est difficile de mettre des liens qui eux ont à voir avec la vidéo que l'on regarde..
A l'intention de Blast: pourriez vous preciser que si des personnes suivent actuellement ces médications et que si elles s' inquiètent suite à votre document ces personnes doivent absolument en discuter avec des professionnels médicaux pour ce qui est d'arrêter ces traitements trop brutalement il y a des risques sérieux. Ces médicaments ont des symptômes de sevrages sur plusieurs mois qu'il ne faut pas sous estimer d'où l'importance d'être suivi ou continuer d'être suivi par des professionnels de santé.
Heu, un petit disclaimer pour dire qu'un arrêt brutal d'un traitement IRSS c'est dangereux aussi, histoire d'éviter que des personnes en détresse psychologique sous traitement ne se fasse du mal....
Blast est en difficulté, pas étonnant qu'ils sortent une vidéo pour utiliser la peur pour faire du clic. J'en croyais pas mes yeux quand j'ai lu ce titre d'une vulgarité absolue. On se croirait sur un média d'extrême droite conspi... Allez voir des papiers sur David Healy, il est totalement conspi et pense par exemple que 50% des recherches médicales sont bidons. Et c'est le SEUL médecin dans cette vidéo, juste hallucinant... Perso j'ai arrêté mon abonnement il y a quelques temps. N'hésitez pas a ne rien donner a vos gamins s'ils vont mal. Pareil, si vous allez mal, ne prenez rien et contentez vous de discuter et de boire des tisanes magiques. Hop. Fin des suicides des enfants, qui bien sûr doivent être plus ou moins dépressif sans raison n'est-ce pas ? Jamais aucun rapport avec la famille ou l'école je suppose ? ... 🙄Mon dieu que Blast est tombé bien bas... Dommage que Pacome et d'autres aient fini sur ce radeau conspi... J'espère qu'ils vont vite se trouver un job ailleurs...
C'est une drogue, c'est avec ce genre de discours que les gens n'arrêtent jamais cette merde qui pourrie la vie Je sais de quoi je parle mon père en prend depuis longtemps, ça a pourrie mon enfance, ma vie de famille et pendant le confinement j'ai cru qu'il allait nous tuer C'est de la drogue sous ordonnance, c'est même pire par ce que la drogue t'as pas ton dealer qui t'obliges à continuer avec un air d'autorité scientifique
Merci de préciser ça ! Les conséquences d'un arrêt d'AD de ma propre initiative suite à des témoignages alarmants de ce genre (et dans une période forcément difficile, ou mon jugement était facilement influencé par mes peurs) ont eu des conséquences très graves pour moi.
Au lieu de dire que les Français sont parmi les plus grands consommateurs d'anxiolytiques, ne serait-il pas plus approprié d'abord de dire que ce sont les médecins français qui figurent parmi les plus grands prescripteurs ?
@@enokart ba c’est pire que ça c’est l’industrie pharmaceutique (qui n’a rien a voir avec la science)qui apprends aux medecins qui n’ont aucun esprit critique et qui croient bêtement en la science comme on croirait en dieu, sans aucun sens scientifique puisqu’il s’agit d’une industrie à des fins économique qui n’à rien à voir avec de la recherche scientifique .moralité ce sont des abrutis.
Sous paroxetine, après 5 jours, idée obsessive de rejoindre la mer. J'ai pris le train pendant 4 heures, arrivée sur la plage, quelque part dans mon cerveau une voix (de la raison) me dit ...Bon ben on va pas se balancer à la mer, tout de même. Au retour, sensation de dissociation ... C'est-à-dire j'étais assise à côté de moi ... Wow. J'ai risqué gros.
J'ai vécu quelque chose de similaire et à deux reprises. Parce que j'ai reçu une deuxième prescription avec à nouveau des recapteurs de sérotonine ! J'aurais aussi pu perdre la vue. Je n'ai jamais été dépressive mais ce sont des angoisses post-traumatiques installées.
J'ai vécu la même chose, une chance que les pensées suicidaires ne soient pas habituelles chez moi, j'ai directement soupçonné le médicament, et mon psychiatre a changé de molécule sans tarder. C'est une vraie chance que je m'en sois rendu compte parce que c'est allé hyper vite, ça aurait pu m'achever en très peu de temps.
J’ai commencé ce médicament. Le 3eme jour, j’étais un total zombie toute la matinée jusqu’à 11h00. Toute l’après midi, je me suis interrogée sur mon état physique et je me suis dit : je n’ai jamais été comme ça. J’ai pris les cachets : j’ai tout mis à la poubelle. Le lendemain, j’ai repris mes baskets et j’ai repris la course à pied ..même si ça reste dur.
@@dianeenaid2224Faux. Les problèmes des jeunes ne sont pas toujours détectés comme , le harcèlement scolaire, la boulimie ou l'anorexie, les abus s***ls et l'emprise sectaire. Moi j'ai eu envie de me retirer la vie quand j'étais ados à cause de deux de ces raisons et tous les adultes autour de moi ont échoué à voir ce qui se passait.
J'ai pris deux des antidépresseurs de la liste présentée. C'était la pire période de ma vie, malgré un suivi chez un psychologue. Le psychiatre qui m'a prescrit le premier AD se fichait complètement de mon état émotionnel ou mon parcours, il a à peine discuté avec moi et s'est empressé de me prescrire un AD alors que je n'en voulais pas. J'étais dans un état de détresse et ai fini par suivre le traitement. J'ai stoppé mes rdv avec lui au profit d'un psychologue qui lui savait écouter et conseiller. J'ai arrêté moi-même progressivement en souffrant du sevrage après 2 ans (pour rappel, on ne devrait pas prendre un tel traitement aussi longtemps). Merci de mettre en lumière ce sujet, je ne conseille à personne de passer par là.
Bonsoir madame votre témoignage me fait écho j’ai fait ma première dépression en 2019 a 27 ans j’ai pris direct des traitement sous conseils de médecin, ma dépression c’est gravement aggravé sous paroxetine je dormais plus j’avais des idées extrêmement sombre et dangereuse. J’ai ensuite essayé anafranil. Pareil horrible, seroplex rien du tout et zoloft avec des idée plates et zombie chaque jours j’avais l’impression de prendre du poison. 6 moi après j’ai tout arrêté. Je m’en suis sorti Sans pendant 1 an et demi. J’ai été tranquille pendant 2 3 ans mais là je viens de rechuter j’ai des pensées très noires et je suis vraiment mal. J’ai vraiment pas envie de prendre des antidépresseurs surtout avec ce genre de reportage.. j’espère que je ne vais pas rester comme ça à vie
Mon fils, 17 ans, voit un psychiatre depuis 1 an pour phobie sociale. Il est triple dys depuis toujours, donc les gens (beaucoup les autres enfants) se moquent de lui depuis qu'il est petit. Il entend régulièrement qu'il n'est capable de rien, qu'il n'y arrivera pas etc. C'est ça qui a provoqué sa phobie, pas un dérèglement chimique, un manque de sérotonine. Son psychiatre l'a bien compris, ne lui prescrit aucun anti-dépresseur, prend le temps de l'écouter, et mon fils va bien mieux depuis qu'il le voit. Le processus va durer longtemps, mais ça fonctionne. Je pense que le problème majeur avec ça, c'est de dire que le manque de sérotonine est la cause, systématiquement. La mise au banc, le vécu difficile, les accidents de vie, "n'assèchent" pas la production de sérotonine.
Le cas de votre fils n'est pas celui de tout le monde, parfois on va très mal et on souhaite aller mieux plus rapidement. Les discussions avec les psy sont importante, il faut faire une mise au point et tenter de surmonter nos problèmes mais ce n'est pas parce que le problème est d'ordre psychologique qu'il ne faut pas prendre d'anti-dépresseur. Pour ma part cela m'a aidé(je prenais et prend encore un cachet de temps en temps quand cela va pas bien), même si ma maladie est probablement à vie mais je l'ai su directement quand j'ai eu cette nouvelle dépression et l'apparition de celle si avec. Une phobie ne se guérit pas forcément, on apprend juste à vivre avec et éviter les situations de stress pour nous, connaissant nos limites. Le hic est que le monde du travail n'est pas tendre et ne permet pas toujours de s'adapter à notre maladie.
@@taovos3165 , je n'ai jamais érigé mon cas en loi. C'est juste un témoignage et un avis. "je pense que", " dire que le manque de sérotonine est la cause, systématiquement", sont les mots que j'ai employé. Ce que vous dites est intéressant, et je n'ai rien contre. Mais avant de vous servir de mon commentaire pour le contrer, relisez le et vous verrez qu'il n'est pas manichéen non plus. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, merci.
@@lemafre1 oui j'en suis conscient, vous profitiez en parlant de votre situation personnelle de parler d'un problème à proposer trop facilement les anti-dépresseurs. J'en ai profité pour rappeler que dans les situations comme votre fils, parfois c'est utile.
Il aurait été bon d'interroger plus longuement un psychiatre ou un chercheur critique ou simplement rigoureux et mesuré. D. Healy, pourquoi pas, à condition d'être méticuleux voire pugnace dans les questions posées, car il lui est arrivé plus d'une fois de défendre des positions sans fondement scientifique, par goût de la polémique ; ou n'importe quel médecin sérieux, qui s'efforce de trouver le meilleur traitement pour ses patients, ce qui implique une bonne compréhension de la pharmacopée. En l'état, ce reportage pointe un véritable problème, c'est-à-dire le manque de précaution de nombreux médecins, et les défaillances insupportables d'un système de prise en charge des troubles psychiques. Si l'on estime que la prescription d'un ISRS doit être envisagée chez un patient de moins de 25 ans (ce qui n'était peut-être pas clair dans le cas de ces jeunes morts si tôt, donc on peut parler d'un grand manque de précaution dans le maniement de la balance bénéfices-risques), alors il faut un suivi sans faille, en aménageant la possibilité de basculer vers une hospitalisation dans de petites unités spécialisées pour modifier le traitement ou organiser un sevrage progressif le cas échéant (et là, on touche le problème du système défaillant, mais on peut parler d'un délabrement généralisé de la médecine psychiatrique en France). Or, une fois ce problème bien caractérisé, ce qui n'était pas vraiment le cas dans le reportage, on aurait aimé mieux comprendre le phénomène à l'oeuvre. Quel est le mécanisme physiopathologique ? Qu'est-ce qui accroît le risque de suicide chez certains jeunes prenant des ISRS ? Quelles autres options existent pour traiter tel ou tel trouble actuellement couvert par les ISRS ? Parce qu'on sortait quand même au moment de leur découverte, à la fin des années 80, des décennies des antidépresseurs tricycliques, dont les dommages organiques sont nombreux et bien documentés... En l'état, le reportage me donne le sentiment d'un regard un peu brouillé, confus. On partage la douleur des parents, bien sûr, mais l'on a pas les moyens de comprendre vraiment ce qui se passe. Certains passages sont même franchement douteux et contribuent à alimenter l'idée que l'on prescrit massivement des molécules inutiles pour des troubles mal définis. Pour moi, c'est un autre sujet que celui des suicides de jeunes patients, qui nécessiterait un angle très précis pour être correctement traité en 30 minutes. Je relève juste une imprécision dans ce registre. Dans la publicité pour le Paxil, le generalized anxiety disorder est traduit en phobie sociale. En voyant ça, on peut se dire comme D. Healy et quelques autres qu'on "pathologise" des traits de caractère ou des comportements qui ne devraient pas l'être (la timidité en l'occurrence, mais l'on peut aussi songer au deuil, etc.). Or, la traduction française du GAD est trouble anxieux généralisé. Il s'agit d'un syndrome plus handicapant encore que la phobie sociale, dont je veux bien admettre qu'elle désigne parfois de "simples" difficultés dans les relations interpersonnelles. Le trouble anxieux généralisé, c'est des années de souffrance pour de nombreux patients, une comorbidité dans toutes sortes de maladies, une cause de suicide... Et les ISRS peuvent franchement aider ceux et celles qui en souffrent. Je ne doute pas de l'intégrité d'A. Denoyelle. Elle a mené un travail au long cours et rencontré beaucoup de détresse durant son enquête. Un peu de mise en perspective avec d'autres intervenants ne ferait toutefois pas de mal. Sa manière de présenter le mode d'action des ISRS n'est pas rigoureuse, de même lorsqu'elle aborde la question de l'efficacité de ces molécules. Lorsqu'on dit qu'un traitement n'est guère plus efficace qu'un placebo, on dit simplement qu'on constate un soulagement des symptômes dans des proportions similaires d'un groupe à l'autre. Seulement, lorsque les ISRS fonctionnent, ils apportent un soulagement bien plus significatif que celui constaté dans le groupe placebo, en particulier chez les patients atteints de TAG ou de dépression majeure. À un autre moment, A. Denoyelle évoque des milliers de morts évitables. Je n'ai pas les dernières données, mais il y a dix ans, on ne comptait même pas mille morts par suicide chez les moins de 25 ans ; et on ne peut pas imputer l'origine de tous les suicides aux ISRS... Ce ne sont que quelques exemples. Les ISRS ne sont pas, je l'espère vraiment, l'aboutissement définitif de la recherche de traitements efficaces en matière de maladies psychiques. La recherche doit continuer. Franchement, si on pouvait trouver ne serait-ce qu'un peu mieux que les molécules les plus couramment prescrites (allez, j'inclus même les traitements proposés en adjuvants ou à part comme la mirtazapine, le bupropion, etc.), j'en serais fort soulagé. Avec les difficultés qui nous attendent dans les prochaines années, je ne pense pas être le seul. Pour autant, ils ont leurs mérites. Je crois qu'on a besoin de regarder tout cela avec un peu plus de méthode. Sans la science, on ne peut pas y voir très clair.
@@michelh2654 C'est un de mes défauts. Mais en l'occurrence le sujet me touche beaucoup et j'aimerais que des médias indépendants le traitent au mieux. Nous méritons une science débarrassée du capitalisme, pas des approximations distillées sous couvert de pensée critique ou alternative.
J'apprécie beaucoup votre commentaire, étant moi même sous paroxétine je me suis reconnus sur pas mal des symptômes décrits par les parents de Florian et Romain. (Grosse fatigue générale, accès de colère, idées suicidaire) Cependant j'ai expérimentés ces symptômes dans des conditions assez différentes de ces personnes, par exemple je suis plus âgé qu'eux. Je suis gêné d'avouer que j'ai encore du mal à évaluer l'effet globale qu'a la paroxétine sur moi et ma maladie, et que j'envisage fortement son arrêt (je sais de quoi il en retourne pas de soucis la dessus), mais je vous rejoint sur votre critique de ce reportage : Cette molécule fut diabolisé de manière trop excessive et il manque le regard sur comment la paroxétine a pu efficacement ''aider'' (j'admet qu'un traitement médicament seul ne suffit pas) des personnes souffrants de maladies mentales.
Je suis sous sertraline depuis 2019 (j'avais 19 ans), à la suite d'une TS, et ça m'a sauvé la vie... Aujourd'hui, je fais une rechute dans la dépression, et je pense sincèrement que sans ce traitement comme béquille, je me serais jetée sous un train...
Pareil, le documentaire manque vrm de bcp d’éléments. C’est des médicaments qui peuvent sauver des vies si ils sont donné dans le bon cadre (avec suivi psy parallèle ext..). Au début de mon traitement c’était effectivement plus dur mais après la période initiale il y avait pas photo. J’espère que le documentaire va pas pousser des jeunes a arrêter leur traitement sans consulter avant.
Les psy ont les mêmes problèmes que toi et tout le monde ! Ils souffrent ! Ils sont prisonniers de l'illusion du "moi". Ils pensent savoir, mais ne savent rien ! Bouddha disait:" prenez refuge qu'en vous-mêmes". Ca veut tout dire ! Pas de béquille, pas de fuite, pas d'analyse, etc... Toute cette merde qui va te détruire ! La vérité elle est en toi ! Tu dois passer par cette phase où tu doutes de tout et ne pas fuir devant les faits. La plupart des gens sont hypocrites, ils ne te disent pas qu'ils sont comme toi, qu'ils éprouvent les mêmes souffrances dû à la peur. Bref, tu dois rester avec ces vagues d'angoisse, les observer sans vouloir les dompter ou les analyser, juste les laisser te dire ce qu'elles ont à te dire. Ecarte toi de tous ceux qui veulent t'aider psychologiquement, ils sont ignorants ! C'est facile de dire je me sens pas bien, alors je lui colle ce mot "dépressions". Mais là encore, c'est une façons aisée de fuir les faits. ! Si tu arrêtes de fuir, il va se passer quelque chose, il n'y a pas de de remède miracle, il n'y pas de méthode. La seule alternative à ton mal être, c'est d'arrêter de fuir ! La vérité si elle existe, elle en toi, nul part ailleurs ! Prend un sac à dos, traverse la France ou je ne sais quel pays et fait ce voyage intérieur et tu comprendras où était le problème...
Je suis comme toi, la sertraline m'a sauvée de la dépression. Il y avait certes des effets secondaires chiants mais j'ai choisi ce que je voulais. Je n'ai pas été que sous sertraline : j'ai une thérapie tcc, une bonne psychologue, un psychiatre, un bon environnement familial. Mais l'antidépresseur à été une grande béquille, j'ai littéralement vu ma dépression s'en aller petit à petit au bout d'un mois et quelques semaines. (je trouve ça rapide) Malgré le reste positif dans ma vie , il manquait plus que des molécules pour rééquilibrer ce qui manquait dans mon crâne ! Je sais qu'on reste fragile tout le long de notre vie là dessus mais savoir demander de l'aide et comprendre qu'on va mal sans être dans le déni aide énormément à chercher comment on peut aller mieux.
J'ai vécu un peu la même chose que les victimes dans cette vidéo Un psychiatre m'a prescrit quand j'avais 16 ans et demi un antidépresseur en demandant en plus à mes parents de m'interdire de lire la notice, car sinon, selon lui "je refuserai de le prendre". Je ne suis pas dépressive de base, plutôt hypersensible, mais j'avais fait une dépression à l'époque à cause de harcèlement scolaire et maltraitance familiale. L'antidépresseur m'a rendu hypomaniaque (c'était dans les effets secondaires), donc j'ai fait des choix stupides par la suite, et ça a ruiné mon orientation universitaire donc mon avenir. De plus, quand je prenais ça, j'avais plus aucun esprit critique ni de contestation (j'ai même plus pensé à regarder la notice), j'acceptais tout, ce qui était pratique pour certaines personnes de mon entourage et les psychiatres... Le sevrage fut horrible, sans l'aide de mon meilleur ami je me serai peut-être tuée. J'ai pris l'antidépresseur 5 ans. Le sevrage a duré 1 ans pour le pire. Pendant 6 mois je dormais maximum 2h par nuit. Pendant les autres 6 mois maximum 4h par nuit. J'étais angoissée tout le temps sans raisons, je comprenais rien, je croyais que je deviendrai folle. J'ai eu des nausées aussi pendant un an, j'avais du mal à manger car tout me donnait envie de vomir (ce qui ne m'arrive jamais d'habitude). Pendant un an, je me suis principalement nourrie de glace à la vanille et un peu de jus de fruit car c'était les seules choses qui "passaient". Même après le sevrage ce fut difficile, car j'étais remplie de haine (j'avais perdu des années car l'hypomanie provoquée par l'antidépresseur m'avait fait faire n'importe quoi dans mes études), j'en voulais aux psychiatres et aussi à ma famille d'avoir rien remarqué, alors que je faisais n'importe quoi sous antidépresseurs. Suite à ça, je me suis disputée avec une personne toxique de ma famille, qui m'a envoyée en HP en disant que j'avais "un problème" (car j'avais eu des mots violents durant la dispute). Là-bas, on m'a dit que les symptômes de sevrage n'existaient pas et que j'étais juste bipolaire. On m'a donné des neuroleptiques de force. Comme j'étais agitée et énervée de mes problèmes familiaux durant l'entretien avec le psychiatres, ils ont pris cela comme un signe de bipolarité. On m'a droguée de force pendant 2 mois, puis on m'a fait des électrochocs (j'ai perdu la mémoire pendant 2 ans de plus à cause de ça, notamment). Aujourd'hui je reprends les études en travaillant à côté mais j'ai 27 ans. J'ai dû attendre de me remettre physiquement, car pendant 3 ans j'ai eu des maux de tête chroniques et horribles suite aux électrochocs, et étudier était juste trop pénible. Les psychiatres ont fait de moi une boule de haine (mais qui sait rester civile en société). Ils ont brisé mes rêves. A cause de la psychiatrie, je n'ai pas pu me construire... Ils ont raison dans le reportage, quand on prends ça, on est plus soi-même. J'ai vécu ça pendant 5 ans sous antidépresseurs, et je n'étais même plus capable de me rendre compte seule que je n'étais plus moi-même... Je n'ai pas d'armes contre eux. Mais j'espère qu'un jour la vérité sera plus forte. Merci énormément pour ce reportage.
Votre histoire est fascinante et en dit long sur la société actuelle comme sur la médecine, avez-vous pensé à en faire un livre? Tout ça est un vrai sujet. Je vous souhaite le meilleur pour la suite :)
@mouna3795 Un livre je n'ai pas le temps (et j'ai gardé des séquelles neurologiques avec des difficultés de prise de décisions car je ressens moins de sentiments qu'avant à cause des électrochocs), donc pour faire des projets c'est pas terrible), et puis c'est compliqué et ça ne toucherai pas grand monde, mais j'aimerai un jour tenter d'en parler par vidéos (youtube, tiktok), quand j'aurai le temps, on commence déjà un peu à dénoncer les dérives de la psychiatrie sur internet et j'en suis contente :) Merci beaucoup en tous cas! ☺️
COURAGE par L'AMOUR ÉTERNELLE VOUS ETES ETABLIE REGARDEZ LE PRESENT ET LE FUTUR❤❤ DIEU SAUVEUR JÈSUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR SAUVEUR FAIT GRÂCE.AMEN AMEN AMEN ❤❤❤
Moi j'ai un ami qui voulait voir un psy en CMP pour des pensées suicidaires, anxiétés sociales et un possible TSA. Il a été a un premier rendez vous avec deux infirmières psys pour filtrer ceux qui méritent de voir le psy ou pas. Résultat: recalé au motif qu'il a déclaré ne pas vouloir prendre d’antidépresseurs (il est contre tous les psychotropes).
Ouai fin calmos, y’a des gens très bien au cmp aussi, suivis depuis des années. Faut arrêter de toujours dire les cmp surmédicalise les cmp sont éclatés etc etc. Tout dépend des praticiens.
Je suis pharmacien et j’ai déjà été sous paroxetine avec les effets indésirables qui sont mentionnés. J’aimerais juste amener un peu de contexte. Oui la prescription des antidépresseurs est un peu abusive en France (tout comme les autres médicaments) les médecins ne sont pas forcément bien formé sur le bon usage du médicament. Concernant les antidépresseurs en début de traitements ils présentent tous ce problème de levée d’inhibition (pouvant amener au suicide) qui dure 2 a 3 semaines un peu plus chez les personnes âgées c’est enseigné en faculté de pharmacie et c’est décrit dans les RCP (= notice des pro de santé) et la notice de la boîte. Il est important de comprendre que ce risque est connu et qu’on peut le gérer en prescrivant un second médicament des benzodiazépines pour éviter cette levée d’inhibition sur 2 a 3 semaines (et pas le tercian comme dans la vidéo). C’est difficile à entendre pour la population mais tous les médicaments présentent des risques et des bénéfices y compris les antidépresseurs. Dans cette vidéo on ne présente que les risques il est important de rappeler que ces antidépresseurs permettent également de sauver des vies et de soigner des dépressions et que cet effet est prouvé scientifiquement (a noter que le traitement devrait normalement être accompagner d’un suivi psychologique et/ou psychiatrique mais que c’est vrai que c’est pas assez le cas en France). Il faut aussi savoir que les médicaments antidépresseurs ont une efficacité très variable d’une personne à l’autre il faut parfois changer plusieurs fois de molécules avant de trouver la bonne molécule et malheureusement on a pas encore d’outils pour prédire leur efficacité (mais dans les années à venir ça ne m’étonnerait pas qu’on puisse faire des tests pour choisir le bon antidépresseur pour la bonne personne du premier coup) Je trouve que cette vidéo fait un peu trop le procès du médicament alors que c’est un problème de mauvais prise en charge des soignants qui n’ont pas alerté sur les risques les patients et pas agi en conséquence
Mon cœur est brisé par ce documentaire, mais ça ouvre beaucoup les yeux, sur tout ce qui nous entour et l'amour qu'on peut donner aux gens pendant qu'ils sont là
De tout cœur avec ces familles qui traversent des moments tellement douloureux. Merci Blast de leur donner la possibilité de s'exprimer et de relayer leur combat.
j'ai pris de la paroxétine environ durant 2 mois et demi suite à des difficultés à rester dans un "boulot" sans angoisse et crise. On m'a dit au début que les effets négatives partiront au bout d'un mois, et bien c'est faux, je me suis sentie comme un zombie durant 2,5 mois. Quand je me levais le matin j'avais toujours envie de dormir, alors je dormais(beaucoup trop). J'avais encore plus de difficultés pour faire des tâches classiques comme manger, se laver, dessiner(passion), etc etc. Puis le jour où mon 1er arrêt maladie s'est terminée et que je devais retourner à ce "boulot", j'ai fait une immense crise et j'ai pensé au mauvaise chose (j'évite les détails) et j'ai eu très peur de moi même car je n'ai jamais eu ce genre de pensée avant, j'aime la vie malgré les difficulté. Je crois que c'est 1 mois après ce jour que j'ai arrêté le traitement. J'ai fait l'erreur de l'arrêter d'un coup, mon mental ne c'est au moins pas aggravé durant le sevrage mais je me sentais étrangement légère (comme une grosse fièvre) avec de grosse palpitation désagréable. Aujourd'hui je n'ai aucun suivi (faute d'argent car impossible de reprendre un travail pour le moment) alors j'essaie de travailler sur moi même "seule" en m'accordant des faiblesses sans me culpabiliser(difficile). Je parle beaucoup de ma vie et c'est loin d'être la chose que j'aime faire en publique mais je voulais au moins partager ce court témoignage que je considère important.
En effet les médecins généralistes et les psychiatres ne connaissent que les ISRS en première intention. Malheureusement les généralistes ne connaissent rien à la santé mentale et les psychiatres ne font pas vraiment d'évaluation alors que toute prise en charge psy devrait s'accompagner d'un suivi purement psychologique dans ce but. Savoir ce qui ne va pas avant toute décision concernant la prise d'un médicament qui est juste devenu la facilité. C'est aussi du à l'état catastrophique de la psychiatrie en France il ne faut pas se voiler la face. Les moyens alloués sont ridicules par rapport au problème. Un autre problème est que notre pays est ultra conservateur en ce qui concerne tout essai clinique novateur utilisant des psychotropes classés comme stupéfiants (je pense en particulier à la psilocybine, ou encore la kétamine, les deux à usage thérapeutique bien sûr). Du coup on reste coincé dans les mêmes vieux schémas de prise en charge qui sont devenus la norme. Combien de médecins prescrivent des anxiolytiques à vie par facilité alors ce c'est censé être des traitement de transition (quelques semaines tout au plus)... Encore une fois, la psychiatrie est le parent pauvre de la médecine dans ce pays (et quand on sait l'état de la médecine dans son ensemble ça fait peur), c'est vraiment effrayant et ça ne risque pas de changer de sitôt malheureusement :/
La psychiatrie est une arnaque. Sauf pour les troubles psychiatriques sévères comme la shizophrenie. Le reste peut être amélioré avec des protocoles que j'ai adopté. Sprt, hygiène alimentaire. Hygiène relationnelle. Abstinence alcool et autres produits....et avoir la foi en Dieu. Un psychiatre m'a dit que c'était du mysticisme... avoir fait 10 ans d'études pour ça...Freud était un consommateur....
On prescrit les IRSS pour plein d'autres problèmes comme la dépression post-partum, les migraines, etc. Il n'est donc pas étonnant que votre gynécologue vous ait proposé ce traitement. Les médicaments ne sont pas réservés à une spécialité de médecine mais aux problèmes qu'ils doivent résoudre.
Je suis assez surprise par ce docu, dont la rigueur ne reflète pas ce à quoi Balst nous habitue. Le documentaire est très à charge, on trouve peu d'expert-es qui livrent leurs conclusions (un seul psychiatre), visiblement pas de droit de réponse pour confronter les différents point de vue. Aucune comparaison statistique avec d'autres antidépresseurs (ceux qui étaient sur le marché avant, les autres familles d'antidépresseurs, que sais-je). Notre système médical bien mal en point suscite de plus en plus de défiance (et parfois à raison bien sûr), cela fait aussi le lit de tout un tas de croyances pseudo-scientifiques, sans fondement qui sont dangereuses (plein de personnes tombent dans le panneau de groupe classés "dérives sectaires" par la Miviludes). En ce sens, il aurait été plus que souhaitable de rappeler que la médecine fonctionne sur le principe de la balance bénéfice-risque et de présenter des chiffres qui évoquent également les bénéfices des AD pour pouvoir tirer de vraies conclusions (ou au moins entamer une vraie réflexion) sur les ISRS. Là, on dirait que vous découvrez que les médicaments ont des effets secondaires et j'ai la désagréables impression que vous agitez cela sous le nez des gens pour générer du clic, sans le mettre en perspective. Le doliprane aussi comprend une longue liste d'effets indésirables, pour autant le bénéfice qu'il procure est supérieur à un tel point qu'il est recommandé de le prescrire, et je ne crois pas qu'il faille remettre cela en question. On entend à plusieurs reprises que ce ne sont "pas des cas isolés" puis (enfin) un chiffre est donné :1500 cas d'effets suicidogènes depuis la mise sur le marché. La mise sur le marché, c'était quand? 1500, d'accord, mais sur combien de patient-es qui en prennent ? Je crois savoir que la dépression peut pousser au suicide, alors qu'en est-il du taux de suicide (ou d'idées suicidaires) chez les personnes souffrant de dépression ? Encore une fois on est sur un criant manque de rigueur ici. Même si je comprends le souhait d'humaniser le sujet en laissant la place aux familles, on a presque l'impression que leur parole a une valeur scientifique or elle est le reflet d'expériences individuelles ce qui va dans le sens inverse de la rigueur scientifique (des etudes avec un grand nombre de personnes, en double-aveugle etc). Le témoignage individuel, ne fait pas science...
Merci pour ce retour qui met des mots sur le malaise ressenti pendant mon visionnage. Il est important, dans le cadre du discours sur la santé mentale, qu'on visibilise les personnes que les médicaments ont aidé, voir sauvé, parce qu'il y en a (j'en fait partie). Cela permettrait de dédiaboliser les traitements et de rassurer les personnes très sceptiques vis-à-vis du corps médical. Beaucoup de gens passent à côté de solutions en ayant une peur démesurée des traitements, et c'est triste que Blast l'alimente. Toutefois, très intéressant de mettre en lumière ces effets secondaires et ces véritables risques, qui en étant conscientisés par le patient, l'entourage et les médecins, peuvent être amoindris. Ma critique n'enlève absolument pas la légitimité à ces familles de parler et partager cette expérience traumatisante et le fait qu'il est important de partager ce genre de sujets sur des plateformes accessibles à toustes. C'est juste qu'un exposé plus nuancé aurait sans doute été bien plus juste et honnête intellectuellement parlant.
Vous souhaitez des données cliniques: celles de GSK sur la paroxetine sont accessibles depuis 2004 suite à un accord avec FDA et la justice américaine. Si vous voulez vous convaincre avec des statistiques relisez les narratifs des evenements indesirables graves survenus lors des essais RCT 329, 701, 704 etc... Vous pourrez vous faire vous-meme une bonne idée de ce qui arrive ou pas avec la paroxétine. Il y a aussi les données de pharmacovigilance. La base de la FDA est accessible. Les données des RCTs X065 et HCJE de Lilly pour la mise sur le marché de la fluoxétine pour une population pédiatrique sont en partie accessibles. Je recommande encore de regarder les effets indésirables survenus qui ont justifié l'arret du test pour les patients concernés.
Les victimes ou proches de victimes des medicaments ou therapies sont rarement interviewées sur les médias mainstream. Vous mettez en avant les statistiques médicales. Les statistiques ca peut etre tres bien. Mais c est très facile à truander. Et dans le cas de GSK et leur médicament paroxétine il y a bien eu fraude avérée concernant les statistiques des données des tests RCT (proces 2012). Enfin et surtout les statistiques ce n est pas la medecine. Les effets d'un meme médoc sur des patients sur differents peuvent etre très differents. Cette remarque justifie de former et de payer des médecins pour faire le job de prescription.
Sauf que les études prises dans leur ensemble démontrent une inefficacité des antidépresseurs, sauf lorsque la personne est dans une dépression très grave. Donc balance bénéfice risque nulle/négative pour plus de la majorité des personnes se faisant prescrire ces médicaments dont les effets secondaires sont élevés. Par exemple le safran s'est révélé être aussi efficace dans les études que Prozac. Alors pourquoi ne pas en prescrire si ce n'est pour gaver le lobby pharmaceutique ?
Le cœur soulevé pour ces jeunes et leurs familles... De nouveau cela pointe le fait que l’industrie privée n'est pas dans l’objectif de l’intérêt général mais bien dans l'objectif de profits avant tout...Quoi qu''il en coute...
Merci pour cette vidéo... J'ai ce traitement depuis un an, j'ai vécu un enfer, mon état s'empire de jour en jour, les idées noires et suicidaire ne font qu'augmenter... Ayant pleine confiance en mon traitement, ainsi que mon médecin, je commençais à accepter que je n'irais jamais bien, à accepter que je finirais par mourir un jour ou un autre par suicide, étant consciente que je ne pourrais pas supporter cette souffrance pour plus d'une trentaine d'année... Je suis tellement révoltée, tellement déçue, je me sens trahie. Révolté d'apprendre via RUclips et non via mon médecin que mon traitement m'était toxique. Révolté qu'une personne sensé être qualifié, ai continué à me prescrire ce traitement. Mais j'ai enfin retrouver l'espoir, l'espoir qu'un traitement différent pourrais enfin m'aider. L'espoir que ma souffrance s'estompe, l'espoir de pouvoir vivre, comme tout le monde, sans être fataliste. Je vous remercie pour cette video, qui fait preuve de sensibilisation, et j'envoie tout mon amour et mon soutient aux parents de Florian et Romain
Bonjour Mirabelle....vous l' avez formidablement bien exprimé...de l amour....voyez personnellement rien que de prendre du donormil suffisait à déclencher..des idées noires ... voilà un comble pour un produit destiné aux insomniaques ... Apprenez à vous connaître, a présent vous savez que pour vous...le risque est réel... inutile d' en vouloir...a cette société qui traite.... Regardez aujourd'hui...lol ..vous êtes consciente et c'est probablement par là...de ce fait , que viennent vos troubles anxieux...( J exclue maladie mentale réelle..je ne suis pas médecin..et je n ai rien à vous vendre..ce message est altruiste et sans intention.) Voyez ont me dit que j'aurais pu être.. thérapeute...lol ..je me vois mal vous soutirer 70 euros par séance.... La santé mentale est fortement dégradée à l' image du milieu qui nous entoure . Surveillez vos consommations notamment tout ce qui est psycho stimulent....prendre soin de son intestin et des contenus bon marchés que l' on nous sert...à bas coût...👈c est le cas de le dire... Connaît toi toi-même, c est souvent la résistance qui fait mal ....la bonne nouvelle pour vous, c'est que vous avez appris par vous même au travers des témoignages des autres...mais seul votre cas compte car vous êtes unique et donc celà demande a chacun de pratiquer le discernement et la modération car ... parfois le recours à la chimie peut être efficace dans une juste mesure... Belle journée..
Merci Blast d'aborder ce sujet, même si trop peu de place est laissée à une information scientifique de qualité. Les témoignages, poignants, le travail d'enquête sur l'opacité des firmes, salutaire, la critique des défaillances de notre système de santé, tout ça me va. Mais beaucoup de spectateurs de la vidéo prennent sans doute des antidépresseurs à juste titre, prescrits et évalués au mieux, et avec des bénéfices malgré les risques associés. J'imagine que le malaise qu'ils ont pu ressentir devant vaut dix fois le mien. Je ne peux que les inciter à discuter avec leurs soignants et/ou à prendre un autre avis sur leur cas personnel avant de jeter leur médicament avec l'eau du système. Enfin, quand vous traitez ce type de sujet, je ne peux que vous conseiller de vous appuyer, pour le versant scientifique, sur le travail de la Revue Prescrire, revue de thérapeutique indépendante, financée par ses abonnés, comme vous : vous serez certains d'y trouver à la fois de l'esprit critique et de la rigueur scientifique. Continuez, vous faites du super boulot, mais on peut toujours s'améliorer ;)
La santé mentale des jeunes est très importante. J'ai 24 ans et je fais des épisodes dépressifs violents depuis mon adolescence. En 2022 j'ai finalement fait le pas de voir une psychiatre pour demander une aide médicamenteuse. J'ai de la chance de pas avoir eu des effets secondaires sauf de l'hymersomnolensce pendant une semaine. Je connais des ami.e.s qui ont fait des réactions violentes à leurs traitements et qui, parce que bien entouré et à la capitale par exemple, ont directement pu changer en discuter avec leur médecin. Ces témoignages m'afflichent terriblement car ces deux jeunes hommes nous ont quitté de manière horrible.. Je suis suivie en Belgique personnellement mais je presume que les lobby sont les même partout...
Ce n'est pas le genre de sujet qui risque d'être traité sur une chaîne nationale à une heure de grande écoute !! J'ai été soignée pour un état dépressif avec un médicament dit de nouvelle génération. Mon état s'est aggravé en huit jours. Selon mon généraliste, je devais faire preuve de patience. Mon organisme allait s'y habituer. Au bout d'un mois, je stoppais ce traitement après avoir lu les effets secondaires !!! Ma fille, pré ado à l'époque, aurait pu devenir orpheline ! Il faut avoir conscience que les médecins bénéficient de " cadeaux" comme des week-ends tous frais payés, de la part des firmes pharmaceutiques en remerciement du pourcentage de prescriptions de certains médocs, ce qui les encourage forcément ... cette pratique devrait être carrément interdite.
Vous avez raison madame, ma fille de 16. Ans aujourd'hui a fait cette mauvaise expérience, heureusement Au bout de 2 mois j' avais tout arrêter, beaucoup de médecins ont vendu leur âme au diable 😈
@PascalGagnieux cymbalta. Je tremblais comme une alcoolique en manque. Je n'arrivais plus à penser. J'arrivais au supermarché en bas de chez moi, j'avais oublié ce qu'il me fallait. Je devais prendre 3, 4 douches par jour tellement je transpirais. La transpiration et les urines sentaient le poisson pas frais du jour !!! Une vraie catastrophe.
La pression performative (Etudes, Sports, Societale etc..) pousse les jeunes vers la consommation de produits psychotropes (Cannabis, médicaments etc..) avec la complicité des industriels et le silence coupable des "responsables" politiques de la Santé publique.
Oui, moi pour réussir à me construire une vie à peu près normale j'ai consommé du Tramadol quotidiennement pendant près de 8 ans. Je suis toujours sous buprenorphine aujourd'hui et un vie pas super stable parceque pas totalement diagnostiqué, anxieux (suite au harcèlement scolaire) et trop introverti pour la vie que je mène.
Tout mon soutien aux familles des victimes. J'ai beaucoup de respect pour leur combat et je leur souhaite bon courage dans leurs démarches. Il ne faut pas hésiter à informer autour de soi avec toutes les précautions nécessaires afin d'éviter de nouveaux drames, de très nombreuses personnes ont des problèmes de santé mentale dans notre pays et elles ne reçoivent pas les soins appropriés.
Mon meilleur ami s’est suicidé vendredi dernier. Sous AD depuis des années, 2 jours avant le drame, il m’a dit qu’il diminuait et se retrouvait « enfin ». Il n’avait que 30 ans. Depuis des années ils le bourraient de nouveaux traitements d’hôpitaux en HP.. prozac dès ses 12 ans …
La praticienne qui a dit à ces parents en deuil qu'elle prescrit ce médicament à tout le monde devrait être sanctionnée. Comment on peut prescrire quelque chose sans savoir un minimum ce qu'elle donne ?! Je comprends pas.
Si justement, tu as très bien compris, ces médecins donnent des médocs qu ils ne connaissent pas ! Nos docteurs en France sont devenus des commerciaux, des vendeurs, des distributeurs autant que les pharmacies d aujourd'hui. Seul le chiffre compte, la santé passe après 😳😤😤😤🤬🤬🤬
Pour te dire, j'ai vu un psychiatre, il y a un an pour des problèmes cognitifs qui m'handicapait dans le travail, dès la première séance, il m'a prescrit des anti depresseur, au bout de 15 min, il me parlait déjà que de ça. A aucun moment, ils essaient de régler des problèmes autrement. Franchement, il vaut mieux aller voir des psychologue, ils ne peuvent rien prescrire donc ils gèrent tout autrement.
@damiengiraud-rk1pc finalement oui, tu as raison car si c'est pour te prescrire des médocs tout cela parce que l'industrie le préconise et ainsi faire faire des bénéfices à cette industrie au détriment des patients, je ne vois pas l'intérêt...
J'ai consulté un très bon psychiatre pendant 7 ans..jamais il ne m'a prescrit de médicament. Il m'a juste donné toute son écoute et son attention, j'ai eu beaucoup de chance. Je suis tellement désolée pour ces parents🙏
@@patriciaferrini-xt1ry Les médicaments étaient utilisées avant big pharma. Les anti-dépresseurs c'est un vrai truc. Après s'en servir en pensant que ça va régler le problème c'est chaud.
Merci pour ce reportage. Je suis moi-même sous Paroxetine et ce médicament m'a sans doute sauvée quand je l'ai pris mais j'etais beaucoup plus âgée que ces trop jeunes victimes et j'étais réellement dépressive. La prescription chez moi a été réfléchie et était justifiée. C'est la différence entre une approche à hauteur de patient et d'humain et une approche systématique et "processuelle" qui est celle de notre monde actuel dans toutes les activités et qui mène à notre perte 😔
Paroxétine efficace, mais surdosage absolument dévastateur ! Méfiez vous. Je sais de quoi je parle, malheureusement. Et à l'arrêt c'est épouvantable si la prise à duré plusieurs années. Un cauchemar. De grâce Anne, ne prenez pas cette molécule sur le long terme (plusieurs années).
J'ai eu une prescription, bien plus âgée aussi, mais je me méfie du manque de données sur les femmes dans les tests cliniques (cf "Femmes Invisibles", Caroline Criado Perez, qui traite - entre autres - de ce manque de données, et des drames sanitaires que cela engendre pour les femmes)
Cette molécule peut effectivement apporter qq chose, mais les effets sont dévastateurs si surdosé. Et l’arrêt est épouvantable si le traitement s'est prolongé sur plusieurs années. De grâce, méfiez vous. Je sais de quoi je parle.
Oui cela fait très longtemps qu'on sait qu'il y a un risque d'augmentation des actes suicidaires avec les antidépresseurs. Maintenant j'attends avec une grande impatience un docu sur les neuroleptiques/antipsychotiques parce que PERSONNE ne s'est emparé du sujet et pourtant les prescriptions ne font que croître.
Je suis psychologue et je peux vous assurer qu'il est assez rare que les psychiatres nous adressent des patients. Dans l'esprit du grand public, cela revient trop cher de payer des séances chez un ou une psychologue. On ignore que beaucoup de psys ajustent leurs honoraires sur les revenus des patients. Pour ma part, il m'arrive de faire pratiquement du bénévolat. Par ailleurs, étant donné que d'une façon ou l'autre, nous sommes chapeautés, voire traqués par les psychiatres, nous n'avons pas intérêt à critiquer la prise de médicaments. Pour ma part, je conseille toujours de diminuer et non pas d'arrêter. Mais quand on connait les doses prescrites et les patients" zombifiés" qui arrivent, je ravale ma révolte, c'est tout ce que je peux faire. Par contre je ne comprends que des gens qui ont quand même a priori les moyens s'acharnent à faire appel à des psychiatres, simplement parce qu'ils seront remboursés par la sécu. Mais nous sommes dans une société ou la parole, c'est du vent, ça ne peut pas guérir. Par contre les médocs, si....
foutaise,societé coupée de l'essentiel devient malade et c'est ni vous ni la chimie qui feront du bien aux souffrants des maux sur lesquels vous gagnez de l'argent,qu'ils aillent marcher en Montagne ou sur une cote sauvage ou encore dans une dense foret,s'il nous en reste! et il iront mieux et peut etre bien! vous creuser les problemes avec vos professions adaptées qui ne soignent pas,vous etes des barrieres à l'émencipation des etres
Quand j’écoute ces témoignages de jeunes soumis à ce type de traitement de psychotropes lourds tel que Tercian et autres je me demande comment et où les psychiatres ont fait leurs études ??? C’est une aberration et un non-sens de la médecine thérapeutique ! 😢 Il faut vraiment tirer la sonnette d’alarme car on détruit de jeunes vies et tout le potentiel intellectuel des jeunes gens
très intéressant. J'ai vu des dizaines de psychiatres depuis 2010.. AUCUN NE M'A DIRIGÉ VERS UN PSYCHOLOGUE ! J'ai aujourd'hui la chance d'avoir un psychiatre correct qui me donne l'opportunité d'aller prendre toutes les solutions qui sont autour de moi car il le dit lui-même " je n'ai pas la science infuse". Le problème est que le psychologue n'est pas remboursé par la sécu et que je n'ai pas les moyens d'aller voir un spécialiste sachant que la moyenne de la consultation est de 50-60€ et que je perçois une AAH.. le serpent qui se mord la queue!
Merci pour ces témoignages et cette recherche de vérité ô combien indispensable ! Notamment après cet épisode de la Covid qui a tellement fragilisé nos jeunes et donc les familles et le manque de réponses adaptées.
J'ai un master dans le domaine des psychotropes, et j'en ais moi-même prix. Je trouve le ton trop diabolisant, il y a beaucoup de gens qui sont sauvés par ces traitements. Cependant, je dois reconnaître que le plus gros problème c'est le déni de réalité de l'industrie et/ou des professionnels, vis à vis des effets secondaires à long terme sexuels, ainsi que les pulsions suicidaires qui peuvent avoir lieu en début de traitement. J'ai pu le voir dans mon cas, le début de traitement anti-dépresseur était abominable, mais après deux semaines j'était apaisé, sans angoisse, mais avec zéro adrénaline je ne perdais pas que le mauvais stress, mais aussi le bon stress, et j'était donc nettement moins dynamique. Pour moi, la base de la bonne pratique, c'est d'annoncer les effets secondaires attendues, et de toujours observer les effets secondaires des médicaments en voyant les patients comme des êtres humains. Le but est d'améliorer leur qualité de vie, pas de les normaliser et de les rendre comme tout le monde.
Tout à fait d'accord 👍 Suite à ma 1e infection du covid, j'ai développé une dépression (ce que je n'avais jamais eu). On m'a prescrit un SSRI tout en m'informant du risque de pensées suicidaires. J'ai fait très attention pendant les premières semaines mais heureusement tout s'est bien passé et ce médicament m'a vraiment sauvé. J'en ai pris pendant 1 an sans problèmes. Il fait absolument informer les médecins et les parient.e.s du risque 🙏
Pour un "master" que de fautes d'orthographe ! Qu'importe! Plus sérieusement, le problème ce n'est pas l'action d'un seul médicament, mais bel et bien les interactions entre plusieurs médicaments. Pour ma petite expérience, dépressif à la suite de mon divorce, j'ai eu à prendre jusqu'à 12 item ! Et bien sûr, on ne connait pratiquement rien de ces interactions... La science ???? La science est muette à ce sujet ! Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas là l'évidence d'une médecine inféodée aux laboratoires... Enfin, je suis d'accord avec vous sur votre dernière phrase... Et c'est là le grand défaut de l'analyse freudienne qui, voulant réinsérer l'individu dans la société, tend à le normaliser pour qu'il suive le "troupeau" en bêlant les lieux communs pondus par les merdias, nos chers politiques et les capitos obèses, lieux communs qui remplacent, pour le plus gros du troupeau, "la pensée" véritable en en étouffant toute originalité...
vous trouverez certaines réponses dans le livre de Peter C.GOTZCHE paragraphes 17 et 18 :" remèdes mortels et crime organisé ou comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé"..
@@jeanclaudemeyer9188 J'ai un doctorat et je fais beaucoup de fautes aussi... faut penser trans-classe aussi. Si tes parents t'ont jamais aidé ou que t'as jamais pris goût à ça, ben tu galères.
Le drame des fameux protocoles qui rendent les médecins crétins... Je me souviens de ces 2 jeunes internes qui voulaient m'opérer d'urgence pour un non problème (en consultant je ne sais quel document qui précisait qu'au delà de 50mm il fallait opérer!) et mon chirurgien haussant les épaules en lisant leur rapport. Comme il partait à la retraite, j'ai anticipé ma seconde intervention (normale compte tenu de ma pathologie) pour être sûr que ce soit lui qui m'opère, sans tenir compte du diagnostic protocolaire. Las! s'il n'y avait que les médecins qui avaient renoncé à leur intelligence au profit des protocoles...
complètement faux, j'en ai pris pendant 6 mois je n'ai jamais ressenti ce que vous décrivez et ca m'a même beaucoup aider a me relever d'une dépression qui trainait depuis plusieurs années.
Merci pour ce documentaire je pense qu’on en parle pas assez du mal que peut procurer ces médicaments qui sont sensés nos « guérir ». J’ai moi même eu ces médicaments du tersian, du alprazolam, du repéridon et de la setraline prescrit par des psychiatres à mes 14 ans jusqu’à mes 16 ans environ. Mes émotions, mon être était éteint j’étais juste morte de l’intérieur, je ressentais plus rien et ma dépression ainsi que moi anxiété augmentait j’avais de plus en plus envie d’en finir. Je restais toujours dans ma chambre j’avais un manque d’hygiène, et j’avais des problèmes de nutrition. J’ai arrêté ces médicaments toutes seules (chose à ne pas faire je pense), j’ai pris 3 ans pour retrouver mon état naturel je me retrouve vivante. Durant cette période de ma vie je faisais énormément de déréalisation et je dormais beaucoup, j’étais aussi violente envers les gens je ne contrôlais plus rien… Actuellement j’ai 19 ans et j’ai toujours des problèmes des socialisations, de l’anxiété sociale et des tendances à avoir des périodes de dépression mais je vais mieux. Je précise également que quand j’avais ces médicaments j’étais incapable d’apprendre à conduire et c’était dangereux pour moi. J’espère de tout mon coeur que chaque personne dans ce monde ayant des problèmes psy ou ayant des médicaments de cette sorte prescrite s’en sortira dans leurs vies 🤍 (Désolé pour les fautes je suis dyslexique)
T’inquiète, on s’en fiche des fautes, ton propos est très compréhensible On te remercie de nous l’avoir partagé, car sans nul doute, ton expérience en aidera plus d’un Merci à toi ❣️
Quand j’écoute ces témoignages de jeunes soumis à ce type de traitement de psychotropes lourds tel que Tercian et autres je me demande comment et où les psychiatres ont fait leurs études ??? C’est une aberration et un non-sens de la médecine thérapeutique ! 😢 Il faut vraiment tirer la sonnette d’alarme car on détruit de jeunes vies et tout le potentiel intellectuel des jeunes gens.
À l'age de 22 ans, j'ai vécu un gros échec universitaire, je suis tombée en dépression, toujours très triste mais pas d'idées noires. J'ai beaucoup maigri et mon medecin m'a prescrit des antidépresseurs qui soit disant m'ouvriraient l'appétit. Je n'ai pas pris un gramme et je me suis surprise un soir à m attacher une écharpe autour du cou et à serrer de toutes mes forces... J'ai jeté la boite quelques jours plus tard car j avais énormément de pensées suicidaires. Attention à ses "médicaments"
Ils faut avertir un maximum de gens sensibilisé de plus en plus de gens partager un max pour pas que de nouvelles personnes tombe dans ce cercle vicieux, ce n'est pas que les antidépresseurs le problème mais tout les médicaments psychotropes de toute classe
Qu’ils reposent en paix 🤍. C’est tellement triste. J’ai souffert de dépression sévère pendant plus d’un an, j’ai réussi à m’en sortir après plus de deux années de souffrance, grâce à Dieu.
La mise sur le marché de Paroxétine ne date pas d'hier, j'en prends depuis plus de dix ans et si le risque du suicide en le prenant existe le contraire l'est tout autant pour moi. Sans la prise de cet antidépresseur le risque de suicide peut aussi s'avérer possible.Dans le reportage on ne mentionne pas les risques que l'alcool associé aux antidépresseurs peuvent induire chez les jeunes.
J'habite en Panama. Il y a 3 ans j'ai eu un rendez-vous avec une psychiatre 3 semaines après que j'avais eu une experience traumatique qui m'avait rendu anxieux. J'ai pris cet rendez-vous par recommendation de ma famille. J'avais déjà des thérapies chaque semaine avec un psychologe. Depuis presque 20 minutes de conversation, la psychiatre a commencé à m'expliquer que j'avais besoin de prendre ISRS pour traiter ma anxiété. Pendant la prochaine séance avec mon psychologe, il m'a appliqué un test pour évaluer ma anxiété et après m'a assuré que c'était pas si grave. Donc j'ai vu coffirmé mes intentions de ne pas prendre telles médicaments en considérant que mes symptoms n'étaient pas si fortes et que des gens qui je connais m'ont racconté de ses mauvaises expériences.
Le tercian (neuroleptique!) c'est juste de la torture, ça ne devrait pas être utilisé et distribué dans les hôpitaux psy à tour de bras à tout le monde et pour toute les pathologies c'est complètement révoltant. À croire qu'ils ne savent pas ce que sont les réels effets (comme on le voit dans cette vidéo avec les anti dépresseurs). Ça ne devrait être utilisé qu'en cas pour calmer les délires et hallucinations, en cas de psychose passagère ou établie et de façon réfléchie en fonction de chaque cas singulier et non de façon automatique... Sans parler des conditions d'accueil en hp : Combien de traumatisés à la suite d'hospitalisation qui au moment où ils en auront le plus besoin n'iront pas car traumatisé par les mauvaises conditions des hp publiques et leurs methodes. Sans parler des témoignages de chantage, manipulation, utilisation abusive de l'autorité (menace à la camisole par ex. Ou à l'immobilisation au lit). La relation entre soignant et patient doit être au coeur de la thérapie et d'une qualité méticuleuse et adapté à la singularité du sujet sans parler d'une analyse du contre transfert du coté soignant (mettre son égo de coté au profit du patient, avoir un bon insight de son propre fonctionnement au sein de cette relation soignant-soignée). C'est d'une tristesse...
Tout ce que vous décrivez je l'ai vécu ! Je suis traumatisée par les méthodes inhumaines souvent en maison de santé mentale . Ils m'ont donné un neuroleptique et sans me dire ce que c'était , me disant que c'était un sédatif léger non addictif , j'ai eu de la paroxetine , j'ai du très vite arrêter , idées suicidaires ( pourtant je suis loin d'être jeune ) , plus possible d'avaler , boule consentement dans la gorge, violentes nausées , gros problèmes d'intestins etc etc .. . J'ai mis des mois à m'en débarrasser et des mois à retrouver le sommeil , une vie normale. La méditation , la sophrologie , réapprendre à respirer , des plantes , des médecines dites " douces " etc , m'ont fait sortir de ce cauchemar ! hélas aucune prise en charge par la sécu , et pourtant cela marche ! , . J'aurai tant à dire sur les maltraitances aux malades et les médocs forts qui ne sont pas justifiés .J'ai failli en mourir et pourtant je suis âgée . Ces médicaments font aussi de graves ravages chez les personnes âgées . Je pense qu'il y a surement une relation entre les maladies neurodégénératives et les prescriptions de neuroleptiques , anxiolytiques et anti-dépresseurs chez les + de 6O ans . Les médecins en donnent aux personnes âgées comme si c'était la panacée , alors que souvent c'est de l'isolement dont soufrent les personnes âgées . Tellement à dire la dessus . Mon père a été traité avec des médicaments pour ses angoisses , il a fini avec une maladie neurodégénérative , il est morts à 65 ans à peine à la retraite , alors qu'il n'avait jamais bu ni fumé, qu'il avait une alimentation très saine . C'est tellement facile de faire une ordonnance avec le VIDAL comme seul référence , alors qu'il faudrait juste accorder un peu plus de temps d'écoute aux patients .
Moi aussi, j ai vécu ça, une trahison, j'ai été hospitalisé, on a m'a assommé de médicaments, je suis sorti, j'ai joué le jeu, j'ai pris le traitement, je suis devenu une épave, impossible de travailler, plus aucune émotion, aucun plaisir à vivre. J'ai arrêté toutes ces merdes du jour au lendemain contre avis médical et dans le secret de mes proches et famille ( c'est ça le pire, aujourd'hui les gens boivent les paroles des médecins sans réfléchir) et c'est la meilleure chose que j'ai faite. Certes les premières semaines, un peu dur mais maintenant des mois après j'ai repris une vie normale, dynamique dans le travail et ma vie privée, j'ai des projets , tout se passe bien. L'entourage nous entraîne dans cette spirale aussi, ma famille voulait absolument que je sois sous traitement, aujourd'hui ils savent que je ne prends plus rien et ils voient bien que je vais bien mieux. Je pardonnerai jamais ce que j'ai vécu à cause de ces gens , des mois , années de vie perdu que je rattrape désormais. Plus devoir se justifier tout le temps car les médecins ne comprennent pas qu'on aille mieux sans leurs merde qu'avec. Plus les séquelles que ça laisse sans doute sur le corps au niveau cardiaque etc... Combien de gens auront des problèmes et mourront des conséquences de prises de médocs de ce style sans jamais pouvoir le prouver ?
Merci beaucoup à toutes les familles victimes pour votre combat. Je savais que certains anti dépresseurs pouvaient pousser au suicide. C'est pour cela que j'ai demandé à mon fils qui n'allait pas bien psychologiquement d'éviter les anti dépresseurs. Il a pu parler à une psychologue et est revenu habiter chez nous. Il va bcp mieux et a retrouver du travail. Je suis une victime des implants Essure de stérilisation définitive autre scandale sanitaire. Je m'en suis sortie et ai témoigné de mon vécu dans un journal LeParisien édition locale comme de nombreuses autres victimes. Je continue à communiquer dessus sur les réseaux sociaux. Il y a encore des femmes victimes qui souffrent sans savoir ce qu'elles ont. Votre combat n'est pas vain. Il sauve des vies. Bon courage. N'oubliez pas de vivre aussi pour vous et vos autres enfants. La vie est trop courte. Ils sont aussi des victimes collatérales comme l'ont été mes enfants. J'ai un fils en 7e année de médecine. Je vais lui transmettre votre témoignage. Merci encore ! 💖
Je suis sous 150mg de paroxétine effectivement vu que ça ne marchait pas on a juste augmenter ma dose merci beaucoup pour toutes ces infos j’ai fait une crise de manie récemment je ne savais pas que ça pouvait être un effet secondaire
L'industrie se préserve totalement avec la notice qui accompagne chaque médicament. Ce n'est pas seulement pour les antidépresseurs. Ce n'est pas normal que tant de jeunes et autres personnes sont sous une médication qui n'a pas ou peu d'effet. C'est toute cette nouvelle génération qui est traitée par un médicament pour n'importe quel 'incomfort'. Mal de tête, fatigué, énervement, le burn out, etc. La vie en 2024 et déjà bien avant n'est plus structurée au niveau des efforts NORMAUX pour un être humain. Que ce soit le travail, les sports, la télé, les smartphones, etc nous soit demande beaucoup trop d'énergie et surtout avec l'informatisation générale, la constante disponibilité pour le travail, même en dehors des WE voir même la nuit, ne laisse plus ou très peu de possibilités à l'individu d'être maître de son travail, pour les loisir également, tout est régi par l'intelligence ARTIFICIELLE, souvent vous n'avez la possibilité de différents choix, imposé par un ROBOT. Même un simple coup fil à n'importe quelle forme LIMITE TOUT CONTACT HUMAIN, style répondeur 'poussez sur le 1,2,3 si.. et ça n'en finit pas. Dans d'autre cas l'on vous dit 'vous êtes la trentième personne en liste d'attente ensuite l'on vous fait écouter n'importe quelle musique qui vous agace. Finalement, le tout, ne profite qu'à d'innombrables firmes où il n'y a plus qu'une seule personne à vous répondre. Au moins que l'on puisse communiquer de personne à personne, PLUS CHACUN EST FRUSTRÉ CONSTAMMENT bien plus que l'humain puisse tolérer, à en avoir des comportements excessifs. Notre comportement est un GRAND SIGNAL D'ALARME de notre corps et le cerveaux évidemment. Rien d'étonnant que diverses molécules qui doivent pas être dans notre cerveau, le fait agir en donnant des signes 'je suis complètement INTOXIQUÉ ' je N'EN PEUT PLUS et c'est ce que la personne fait penser de plus en plus 'ma vie ne vaut plus la peine, et arrive à se suicider. En fait la personne ne veut pas mourir, seulement débarrasser ce MAL ÊTRE qui le poursuit jour et nuit. SI vous imposé trop de nourriture à la fois à votre estomac, vous allez avoir des nausées ou vomir , et là vous vous dites J'AI ÉTÉ TROP GOURMENT et vous y remédiez. C'est le même principe pour le cerveau
Je suis rassuré de voit les nombreux commentaires qui pointent du doigt les limites de ce documentaire dont je ne remets pas en question les bonnes intentions. Quel dommage que les médias n abordent pas ces sujets sensibles avec l idée qu ils seront regardés par des personnes malades qui peuvent prendre des décisions impulsive tout aussi dangereuses comme l arrete brutal de traitement
Enfin ! Enfin ! Une vidéo qui parle du malheur des jeunes. On se décide enfin d'en parler personnellement je suis à la rue alors que je n'ai que 20 ans et je connais beaucoup de jeunes dans mon cas ou dans un cas similaire et personne n'en a rien à foutre. Il faut que la parole se libère !
je suis un survivant du deroxat. je pensais que c'était moi le problème face à mes gestes suicidaires, je suis sous le choc. pensées pour toutes les familles, tous les jeunes.
Beaucoup de gens se font prescrire des psychotropes alors qu'il y a trop souvent juste besoin de parler. La liste des effets secondaires est énorme ! Depuis des dizaines d'années, les effets "paradoxaux" comme disent les soit disants spécialistes sont connus et ignorés volontairement. Les patients de ces dealers sont des pompes à fric qu'importe l'impact sur les victimes !! Regardez les études avant la mise sur le marché du prozac, des benzodiazépines... Le nombre de suicides, l'automutilation, les agressions violentes d'autres personnes sans raison, et surtout l'utiliser de ces molécules par la CIA et les organisations terroristes, les sectes pour manipuler les disciples....
Merci de mettre en avant ce sujet! et merci aux témoignages des parents et à Ariane Denoyel ! Comme le dit le père de l'un des deux garçons ( 17:43 ), les drames de ce genre sont répandus et systémiques! Ne faudrait-il pas aussi s'interroger sur la psychiatrie et le rôle des psychiatres dans leur façon de prendre en charge les patients? Une remise en question urgente est de mise semble-t-il.
D'accord pour que la psychiatrie evolue, mais il faut aussi arreter demander a tort a la medecine de soigner nos ames pour des problemes sociaux (hors maladie psychiatrique lourde). Discussions inter-generationnelles et philosophie + remettre de l'humanite dans la societe sont les remedes.
Souvent je me rappel qu'il y a 25 ans en arrière tu allais voir le médecin pour dire que tu avais un coup de mou, moins la motivation... tu te retrouvais avec des cures de vitamines et maintenant tu dis la même chose et tu te retrouves avec des anxiolytiques et autre anti-dépresseurs...
@scolopendreenporte-jarrete10 je suis tout à fait d'accord d'où les mots choisis pour la facilité d'accès à ce genre de médicaments. D'ailleurs dans les dépressions (mis à part les traitements) il est conseillé 3 choses essentielles : ne pas négliger le sommeil, le sport et l'alimentation
Les stages en IFSI sont aussi très anxiogènes et la pression est telle que l'on perd confiance en soi, il y règne parfois une maltraitance en stage insupportable.J'en parle en connaissance de cause. Soutenez les stagiaires.
Je suis heureuse de voir des personnes au courant des effets de ses médicaments. J'ai eu 3 médecins traitants et j'ai déjà vu deux psychiatres, mais aucun d'entre eux ne se savaient vraiment comment me les prescrire ni choisir lequel serait le mieux adapté. On ne peut nier le fait que ces traitements sont une béquille quand on est malade, mais au moindre symptôme indésirable ou même de l'innéficacité, il faut voir son médecin et insister pour changer voire arrêter le traitement, et ne pas "faire avec", comme ils le disent. J'ai 19 ans et je suis sous anxiolytique et antidépresseur depuis 3 ans, j'ai décidé de prendre les taureaux par les cornes et demander à mon médecin traitant de commencer un sevrage de l'anxiolytique cet automne et arrêter l'antidépresseur au printemps. Je ne m'estime pas guérie de mes problèmes, mais ces traitements n'ont aucune efficacité dans mon quotidien, et au contraire, je me sens souvent agitée, je tremble et et j'ai beaucoup de pertes de mémoires. A la place de ce traitement, les meilleurs remèdes, dans mon cas, c'est la méditation , la sophrologie, une pause dans ses activités professionnelles ou scolaire, revoir totalement son quotidien et surtout, prendre le temps de se comprendre, et faire des choses pour soi.
Parlez à d autres patients en cours de sevrage. Faites vous aider et prevenez vos proches. La phase de sevrage des AD peut etre dangereuse, c est pour ca que les psys ne veulent pas les arreter.
Je suis révoltée….comment les industriels du médicaments espèrent qu’on ait confiance en eux, ils sont tellement opaques que ça sent forcément mauvais…j’ai de plus en plus de méfiance à leur égard, ils ne favorisent pas la santé des gens ils les tuent, les rendent accrocs en s’en foutant royalement, c’est l’argent qui les motivent, rien de plus. Si seulement ils étaient plus transparents, on pourrait faire la part des choses mais là, dans le doute, on ne peut plus compter sur eux.
C'est à pleurer à mourir... Très bon doc instructif. Merci. Que ce "biais de financement" démontré dans les études sur les médicaments n'est pas nouveau et a même été démontré, chiffres à l'appui. Malgré ceci, l'UE et tous les états s'en tapent complètement et le confortent par leur inaction. Ça fout pas mal la haine, à juste titre. Ce n'est pas du complotisme ni du "dysfonctionnement" mais de la corruption.
Apres un probleme se pose , si les entreprise ne prouve pas l efficacité de leur traitements alors on doit tester toute les molecule que pondent ces entreprises au frais du contribuabl? pas sur que le service publique ai les epaules pour assumer tout ce travail. Ou alors il faudrait que les labo finances les universités publique pour faire les etudes
@@chrisrotter3283 évidemment qu'il faut toutes les tester ces fucking molecules. Il n'y a même pas d'inventaire de toutes les molécules produites et disséminées sur cette planète. Il en était question dans l'UE il y a 20 ans et les lobbys chimiques ont fait pression pour que ça ne se fasse pas. Vous leur faites confiance ? Et les académies qui ont des moyens que nous finançons déjà vous voulez les supprimer parce que les entreprises ne versent pas 1 kopek ? - Vraiment vous êtes génial
Merci d'avoir rendu publique cette affaire.J'ai pu rencontrer des familles victimes aux 3 journées de la maison des lanceurs d'alerte en 2023 à Paris et le docteur Healy Les antidépresseurs prescrits par le Pr B a Nice m'ont provoqué 2 AVC, je précise que je n'avais eu ni tension ni jamais bu, ni fumé. Et je venais d'être victime d'un méningiome de 8 cm de diamètre suite à la prise pendant 15 ans d'Androcur (
16:36 "Et là, le médecin, sans hésitation, nous dit: "Je le prescrit à tout le monde" " WHAAAAT ???!!! 😱 9 à 12 ans d'études pour prescrire un anti-dépresseur pour un gargouillement et d'ajouter qu'il le prescrit à tout le monde ???? J'y comprends rien du tout 😢
Merci !! Ce qui me choque c'est qu'on utilise toujours la solution de faciliter = le médicament...sans parler ou apprendre à connaître la personne.... Bourré de médoc c'est toujours plus simple !!
j'ai eu de la paroxétine, c'est horrible cette merde : spasmes, anorgasmie (du coup problèmes de prostate), sommeil perturbé ; j'ai aussi entendu dire par un psychiatre il y a une vingtaine d'années que les antidépresseurs pouvaient donner la force de se suicider, alors que la dépression rend les victimes trop inactives
Oui, en raison de la levée d’inhibition causée par les antidépresseurs il faut faire très attention les premières semaines, il faut éviter d’être seul au début du traitement car il y a des risques. Chacun réagit plus ou moins bien aux différents antidépresseurs: il faut parfois en essayer plusieurs avant de trouver le bon, ce qui est frustrant et difficile mais nous n’avons pas tous les mêmes effets. Personnellement la paroxétine est celui qui m’a aidé à me débarrasser de la dépression.
Les parents sont d'une dignité incroyable en restant lucide et intelligent dans leurs propos. Admirable. Si on synthétise, de riches laboratoires s'enrichissent avec l'aide des politiciens et administrations corrompus, tout en sachant qu'il sèment la mort par suicide. Je ne suis pas surpris. C'est grave docteur ?
En tant que personne diagnostiquée dépressive depuis l'âge de 14 ans, je dirai simplement ceci : c'est la société dans laquelle on veut nous faire vivre qui ne va pas. Et ces événements en sont la preuve. A bientôt 60 ans, je trouve même que cela empire. Cordialement
S'il vous plaît, tant que vous y êtes, jetez un œil sur les conséquences des antipsychotiques de 1ere et 2e génération (effets secondaires graves, séquelles handicapantes, dommages sur les reins notamment) il y a eu l'affaire Médiator (à raison) pour moins que ça ! La psychiatrie tue
J'ai 53 ans. Suite à un épisode difficile, avec mon ex compagnon, harcèlement, violence etc j'ai fait des crises d'angoisse. On m'a prescrit du xanax ( alprazolam). Petit à petit, le moral allait de moins en moins bien mais bon il y avait des facteurs extérieurs, déménagements en urgence et ... Donc je ne me suis pas mefiée .. et on me prescrit un anti dépresseur nouvelle génération. Horrible... J'ai vécu l'enfer.. je voyais tout en noir, que des idées noires, sombres, un cauchemar.. et ça m'a supprimé le sommeil. Je ne dormais plus. Ni la nuit, ni le jour, donc du coup, somnifères. Moi qui n'avais jamais pris de médicaments avant.. je savais que sur la notice il était indiqué qu'en début de traitement, ça pouvait augmenter les symptômes mais c'était insupportable. J'étais tellement mal que pour arrêter cette souffrance, des idées suicidaires commençaient à venir. Mon généraliste m'a changé 3 fois de traitement. Idem.. elle m'a envoyé voir un psychiatre. J'avais peur, qu'il me prescrive encore plus de médicaments. Et j'ai eu de la chance. Il m'a dit que ces molécules n'étaient pas pour moi. Donc il m'a fait arrêter de suite les anti dépresseurs ( ça faisait vraiment pas longtemps que je les prenaient donc sevrage sans danger). J'ai gardé le somnifère et suite à un emploi où je me levais à 4 h du matin, ça m'a solutionné mon problème d'insomnie... Des années après, suite à une maladie très angoissante, on me represcrit l'alprazolam. Petit à petit, idées noires...j'ai cru retomber en dépression, il y a eu le debut du covid en plus, une opération chirurgicale délicate en perspective, enfin bref. Je prenais un comprimé que le soir pour dormir. Et de jours en jours, idées noires, sombres, angoisse qui me tenaillaient sans relâche, et de nouveau des idées suicidaires comme seules solutions pour que la souffrance s'arrête. Et puis, suite à un phlegmon amydalien, j'ai eu un traitement de choc, antibiotiques anti douleur etc... J'étais tellement KO que je n'ai pas pris l'alprazolam pour dormir.. et là, magique, plus d'idées noires ! Donc je sais maintenant que ce produit provoque chez moi ces symptômes. Quant aux antidépresseurs, peut-être aussi. En tout cas les mélanges ne sont pas bons et provoquent souvent des interactions entre eux. Après, c'est cas par cas. Ma belle sœur a pris un des anti dépresseurs que j'ai essayé, et chez elle aucun effet secondaire.. comme quoi...
Perso moi c'est ma mère qui a voulu me forcer à en prendre, elle m'a forcée à aller chez le médecin, je n'ai jamais pris l'antidépresseur et comme j'allais mieux au 2ème RDV pour d'autres raisons, le médecin a dit que le médicament avait fait effet... Quand il l'a prescrit, il parlait plus à ma mère qu'à moi et a dit "par contre, ça va pas changer son caractère !"... Parfois (pas dans cette vidéo) ce sont aussi les parents qui sont responsables. Certains donnent ça à leurs enfants car ils sont incapables d'empathie. C'est comme si ils donnaient du vin à un enfant pour le calmer parce que ça fait un peu ch*ier les enfants quand même... Et moi aussi le médecin a dit qu'il n'y avait "aucun inconvénient" à prendre ça alors qu'il y a environ 95 effets secondaires notés sur la notice (sans compter les effets sur les nouveaux-nés après une grossesse). Puis sur la notice il n'y a pas écrit "automutilation" ou "homicide" par exemple que j'ai vu sur la revue Prescrire, mais à la place il y a écrit "comportement d'agressivité, d'opposition et de colère, d'agression envers soi-même". "homicide" c'est peut-être pas très fréquent j'en sais rien mais c'est pour dire que parfois ils essaient trop d'atténuer les choses, même sur la notice. Il y a aussi écrit sur la notice "Le mécanisme d'action de la paroxétine et des autres ISRS n'est pas complètement connu, mais ils augmenteraient le taux de sérotonine dans le cerveau."... La psychologue que je voyais à l'époque aussi m'avait dit qu'il n'y avait pas de raison de s'inquiéter, que ça ne pouvait pas changer notre personnalité de prendre ça et m'avait conseillé de l'essayer pendant les grandes vacances (parce que j'avais des difficultés à l'école et je ne voulais pas me rajouter un problème de concentration ou autre) alors que j'avais pas vraiment d'amis et que je ne comptais plus voir cette psychologue. Quel est l'intérêt de prendre ça, tout.e seul.e ? D'ailleurs, cette psy a même dit que j'étais têtue parce que je voulais pas le prendre, l'antidépresseur... De plus, sur la notice il y a écrit que le médicament met 2 semaines à agir ou plus, mais dans la vidéo la mère de Florian a dit que son fils était décédé au bout de 3 semaines de traitement... Moi je ne voyais mon médecin qu'au bout de 2 mois après l'avoir "pris". Et quand on voit à 4 : 50 dans la vidéo les recommandations de haute autorité de santé, ils disent qu'il faudrait attendre 4 à 8 semaines pour évaluer l'efficacité du traitement... Et si ça marche pas c'est soit on met un autre antidépresseur, soit on augmente la dose, soit c'est l'hôpital psy, autrement dit la prison... C'est vraiment choquant, en fait j'avais vraiment aucune autre issue à part faire semblant de le prendre...
Mille merci à vous devant: Les représentants, et medias dominant privé comme public (98%)des milliardaires Français sont devenu le passe plat de racisme, antisémitisme, islamophobie et propagandiste de néolibéralisme .
@@michelh2654 guillaume pointe le recourt à la psychanalyse qui n'a aucune preuve d'efficacité depuis son invention... contrairement aux TCC thérapie cognitivo-comportementale par exemple.
Ce long format est de grande qualité, bravo. Merci ! Effectivement, il faut faire circuler l'information. Il faut de la concertation et bien sûr prendre en compte la parole des patients (et de l'entourage). Les médicaments doivent nous soigner. La santé n'est pas un business.
Merci d’avoir regardé la vidéo ! C'est grâce à ses abonnés et donateurs que Blast peut exister et rester indépendant.
Nous avons besoin de VOUS pour continuer : www.blast-info.fr/soutenir
Pour info, il faudrait un modérateur de commentaires, j'ai vu passer 2 spams en allemand à caractère sexuel n'ayant rien avoir avec le sujet...
@@Johnny_T779les bots envahissent de plus en plus la section" commentaires" 😮💨
@@Johnny_T779tu t'en rends juste compte, maintenant, il y en a partout tout le temps, et difficile de tous les signaler, car beaucoup respect les règles, de ne pas mettre directement des liens, il faut aller sur leur canal, et aller voir leur compte, donc en soi ils respect les règles de youteub, parcontre il est difficile de mettre des liens qui eux ont à voir avec la vidéo que l'on regarde..
A l'intention de Blast: pourriez vous preciser que si des personnes suivent actuellement ces médications et que si elles s' inquiètent suite à votre document ces personnes doivent absolument en discuter avec des professionnels médicaux pour ce qui est d'arrêter ces traitements trop brutalement il y a des risques sérieux. Ces médicaments ont des symptômes de sevrages sur plusieurs mois qu'il ne faut pas sous estimer d'où l'importance d'être suivi ou continuer d'être suivi par des professionnels de santé.
@@francoismazet6427 tout à fait d'accord... l'arrêt brutal est très dangereux, il faut être très très progressif en observant tous les symptômes 🤝
Heu, un petit disclaimer pour dire qu'un arrêt brutal d'un traitement IRSS c'est dangereux aussi, histoire d'éviter que des personnes en détresse psychologique sous traitement ne se fasse du mal....
Merci.
Oui, l'arrêt ne serait -ce que quelques jours peut rendre bien malade et le sevrage doit être progressif et accompagné. Mais ça, on ne le dit pas ..
Blast est en difficulté, pas étonnant qu'ils sortent une vidéo pour utiliser la peur pour faire du clic. J'en croyais pas mes yeux quand j'ai lu ce titre d'une vulgarité absolue. On se croirait sur un média d'extrême droite conspi... Allez voir des papiers sur David Healy, il est totalement conspi et pense par exemple que 50% des recherches médicales sont bidons. Et c'est le SEUL médecin dans cette vidéo, juste hallucinant... Perso j'ai arrêté mon abonnement il y a quelques temps.
N'hésitez pas a ne rien donner a vos gamins s'ils vont mal. Pareil, si vous allez mal, ne prenez rien et contentez vous de discuter et de boire des tisanes magiques. Hop. Fin des suicides des enfants, qui bien sûr doivent être plus ou moins dépressif sans raison n'est-ce pas ? Jamais aucun rapport avec la famille ou l'école je suppose ? ... 🙄Mon dieu que Blast est tombé bien bas... Dommage que Pacome et d'autres aient fini sur ce radeau conspi... J'espère qu'ils vont vite se trouver un job ailleurs...
C'est une drogue, c'est avec ce genre de discours que les gens n'arrêtent jamais cette merde qui pourrie la vie
Je sais de quoi je parle mon père en prend depuis longtemps, ça a pourrie mon enfance, ma vie de famille et pendant le confinement j'ai cru qu'il allait nous tuer
C'est de la drogue sous ordonnance, c'est même pire par ce que la drogue t'as pas ton dealer qui t'obliges à continuer avec un air d'autorité scientifique
Merci de préciser ça ! Les conséquences d'un arrêt d'AD de ma propre initiative suite à des témoignages alarmants de ce genre (et dans une période forcément difficile, ou mon jugement était facilement influencé par mes peurs) ont eu des conséquences très graves pour moi.
Au lieu de dire que les Français sont parmi les plus grands consommateurs d'anxiolytiques, ne serait-il pas plus approprié d'abord de dire que ce sont les médecins français qui figurent parmi les plus grands prescripteurs ?
ba oui c'est un des plus gros lobby français
Tres bien vu !
@@enokart ba c’est pire que ça c’est l’industrie pharmaceutique (qui n’a rien a voir avec la science)qui apprends aux medecins qui n’ont aucun esprit critique et qui croient bêtement en la science comme on croirait en dieu, sans aucun sens scientifique puisqu’il s’agit d’une industrie à des fins économique qui n’à rien à voir avec de la recherche scientifique .moralité ce sont des abrutis.
🧠👏🏻
Les français se font drogués légalement
Sous paroxetine, après 5 jours, idée obsessive de rejoindre la mer. J'ai pris le train pendant 4 heures, arrivée sur la plage, quelque part dans mon cerveau une voix (de la raison) me dit ...Bon ben on va pas se balancer à la mer, tout de même. Au retour, sensation de dissociation ... C'est-à-dire j'étais assise à côté de moi ... Wow. J'ai risqué gros.
J'ai vécu quelque chose de similaire et à deux reprises. Parce que j'ai reçu une deuxième prescription avec à nouveau des recapteurs de sérotonine ! J'aurais aussi pu perdre la vue. Je n'ai jamais été dépressive mais ce sont des angoisses post-traumatiques installées.
J'ai vécu la même chose, une chance que les pensées suicidaires ne soient pas habituelles chez moi, j'ai directement soupçonné le médicament, et mon psychiatre a changé de molécule sans tarder. C'est une vraie chance que je m'en sois rendu compte parce que c'est allé hyper vite, ça aurait pu m'achever en très peu de temps.
La merde
J’ai commencé ce médicament. Le 3eme jour, j’étais un total zombie toute la matinée jusqu’à 11h00. Toute l’après midi, je me suis interrogée sur mon état physique et je me suis dit : je n’ai jamais été comme ça. J’ai pris les cachets : j’ai tout mis à la poubelle. Le lendemain, j’ai repris mes baskets et j’ai repris la course à pied ..même si ça reste dur.
qui a demandé
Triste reportage et tellement important car beaucoup de gens sont concernés et rien n'est fait car l'argent l'emporte devant la morale
Merci blast
Des jeunes qui ont toute la vie devant eux et qui se suicident ? Il,y' a pas de meilleure symptome d' une société malade.
La vie parfois ne nous fait pas cadeau
Non, souvent les gens pensent qu'ils ont des problèmes alors qu'ils n'en ont pas.
@@dianeenaid2224Faux. Les problèmes des jeunes ne sont pas toujours détectés comme , le harcèlement scolaire, la boulimie ou l'anorexie, les abus s***ls et l'emprise sectaire. Moi j'ai eu envie de me retirer la vie quand j'étais ados à cause de deux de ces raisons et tous les adultes autour de moi ont échoué à voir ce qui se passait.
Votre société pue la merde aussi wlh
Hélas vous avez raison
J'ai pris deux des antidépresseurs de la liste présentée. C'était la pire période de ma vie, malgré un suivi chez un psychologue. Le psychiatre qui m'a prescrit le premier AD se fichait complètement de mon état émotionnel ou mon parcours, il a à peine discuté avec moi et s'est empressé de me prescrire un AD alors que je n'en voulais pas. J'étais dans un état de détresse et ai fini par suivre le traitement. J'ai stoppé mes rdv avec lui au profit d'un psychologue qui lui savait écouter et conseiller. J'ai arrêté moi-même progressivement en souffrant du sevrage après 2 ans (pour rappel, on ne devrait pas prendre un tel traitement aussi longtemps). Merci de mettre en lumière ce sujet, je ne conseille à personne de passer par là.
J'espère que vous allez mieux et que vous êtes bien entouré
@ oui beaucoup mieux, merci :) On aurait tout simplement jamais dû me prescrire un tel traitement.
Bonsoir madame votre témoignage me fait écho j’ai fait ma première dépression en 2019 a 27 ans j’ai pris direct des traitement sous conseils de médecin, ma dépression c’est gravement aggravé sous paroxetine je dormais plus j’avais des idées extrêmement sombre et dangereuse. J’ai ensuite essayé anafranil. Pareil horrible, seroplex rien du tout et zoloft avec des idée plates et zombie chaque jours j’avais l’impression de prendre du poison. 6 moi après j’ai tout arrêté. Je m’en suis sorti Sans pendant 1 an et demi. J’ai été tranquille pendant 2 3 ans mais là je viens de rechuter j’ai des pensées très noires et je suis vraiment mal. J’ai vraiment pas envie de prendre des antidépresseurs surtout avec ce genre de reportage.. j’espère que je ne vais pas rester comme ça à vie
Mon fils, 17 ans, voit un psychiatre depuis 1 an pour phobie sociale. Il est triple dys depuis toujours, donc les gens (beaucoup les autres enfants) se moquent de lui depuis qu'il est petit. Il entend régulièrement qu'il n'est capable de rien, qu'il n'y arrivera pas etc. C'est ça qui a provoqué sa phobie, pas un dérèglement chimique, un manque de sérotonine. Son psychiatre l'a bien compris, ne lui prescrit aucun anti-dépresseur, prend le temps de l'écouter, et mon fils va bien mieux depuis qu'il le voit. Le processus va durer longtemps, mais ça fonctionne. Je pense que le problème majeur avec ça, c'est de dire que le manque de sérotonine est la cause, systématiquement. La mise au banc, le vécu difficile, les accidents de vie, "n'assèchent" pas la production de sérotonine.
Très bien dit. 👍
Le cas de votre fils n'est pas celui de tout le monde, parfois on va très mal et on souhaite aller mieux plus rapidement. Les discussions avec les psy sont importante, il faut faire une mise au point et tenter de surmonter nos problèmes mais ce n'est pas parce que le problème est d'ordre psychologique qu'il ne faut pas prendre d'anti-dépresseur.
Pour ma part cela m'a aidé(je prenais et prend encore un cachet de temps en temps quand cela va pas bien), même si ma maladie est probablement à vie mais je l'ai su directement quand j'ai eu cette nouvelle dépression et l'apparition de celle si avec. Une phobie ne se guérit pas forcément, on apprend juste à vivre avec et éviter les situations de stress pour nous, connaissant nos limites. Le hic est que le monde du travail n'est pas tendre et ne permet pas toujours de s'adapter à notre maladie.
Pour les phobies essayez NERTI la méthode de Luc Geiger
@@taovos3165 , je n'ai jamais érigé mon cas en loi. C'est juste un témoignage et un avis. "je pense que", " dire que le manque de sérotonine est la cause, systématiquement", sont les mots que j'ai employé. Ce que vous dites est intéressant, et je n'ai rien contre. Mais avant de vous servir de mon commentaire pour le contrer, relisez le et vous verrez qu'il n'est pas manichéen non plus. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, merci.
@@lemafre1 oui j'en suis conscient, vous profitiez en parlant de votre situation personnelle de parler d'un problème à proposer trop facilement les anti-dépresseurs. J'en ai profité pour rappeler que dans les situations comme votre fils, parfois c'est utile.
😢courage aux familles 🤲♥️.Sinceres condoléances 💐.
Il aurait été bon d'interroger plus longuement un psychiatre ou un chercheur critique ou simplement rigoureux et mesuré. D. Healy, pourquoi pas, à condition d'être méticuleux voire pugnace dans les questions posées, car il lui est arrivé plus d'une fois de défendre des positions sans fondement scientifique, par goût de la polémique ; ou n'importe quel médecin sérieux, qui s'efforce de trouver le meilleur traitement pour ses patients, ce qui implique une bonne compréhension de la pharmacopée.
En l'état, ce reportage pointe un véritable problème, c'est-à-dire le manque de précaution de nombreux médecins, et les défaillances insupportables d'un système de prise en charge des troubles psychiques. Si l'on estime que la prescription d'un ISRS doit être envisagée chez un patient de moins de 25 ans (ce qui n'était peut-être pas clair dans le cas de ces jeunes morts si tôt, donc on peut parler d'un grand manque de précaution dans le maniement de la balance bénéfices-risques), alors il faut un suivi sans faille, en aménageant la possibilité de basculer vers une hospitalisation dans de petites unités spécialisées pour modifier le traitement ou organiser un sevrage progressif le cas échéant (et là, on touche le problème du système défaillant, mais on peut parler d'un délabrement généralisé de la médecine psychiatrique en France).
Or, une fois ce problème bien caractérisé, ce qui n'était pas vraiment le cas dans le reportage, on aurait aimé mieux comprendre le phénomène à l'oeuvre. Quel est le mécanisme physiopathologique ? Qu'est-ce qui accroît le risque de suicide chez certains jeunes prenant des ISRS ? Quelles autres options existent pour traiter tel ou tel trouble actuellement couvert par les ISRS ? Parce qu'on sortait quand même au moment de leur découverte, à la fin des années 80, des décennies des antidépresseurs tricycliques, dont les dommages organiques sont nombreux et bien documentés... En l'état, le reportage me donne le sentiment d'un regard un peu brouillé, confus. On partage la douleur des parents, bien sûr, mais l'on a pas les moyens de comprendre vraiment ce qui se passe. Certains passages sont même franchement douteux et contribuent à alimenter l'idée que l'on prescrit massivement des molécules inutiles pour des troubles mal définis. Pour moi, c'est un autre sujet que celui des suicides de jeunes patients, qui nécessiterait un angle très précis pour être correctement traité en 30 minutes. Je relève juste une imprécision dans ce registre. Dans la publicité pour le Paxil, le generalized anxiety disorder est traduit en phobie sociale. En voyant ça, on peut se dire comme D. Healy et quelques autres qu'on "pathologise" des traits de caractère ou des comportements qui ne devraient pas l'être (la timidité en l'occurrence, mais l'on peut aussi songer au deuil, etc.). Or, la traduction française du GAD est trouble anxieux généralisé. Il s'agit d'un syndrome plus handicapant encore que la phobie sociale, dont je veux bien admettre qu'elle désigne parfois de "simples" difficultés dans les relations interpersonnelles. Le trouble anxieux généralisé, c'est des années de souffrance pour de nombreux patients, une comorbidité dans toutes sortes de maladies, une cause de suicide... Et les ISRS peuvent franchement aider ceux et celles qui en souffrent.
Je ne doute pas de l'intégrité d'A. Denoyelle. Elle a mené un travail au long cours et rencontré beaucoup de détresse durant son enquête. Un peu de mise en perspective avec d'autres intervenants ne ferait toutefois pas de mal. Sa manière de présenter le mode d'action des ISRS n'est pas rigoureuse, de même lorsqu'elle aborde la question de l'efficacité de ces molécules. Lorsqu'on dit qu'un traitement n'est guère plus efficace qu'un placebo, on dit simplement qu'on constate un soulagement des symptômes dans des proportions similaires d'un groupe à l'autre. Seulement, lorsque les ISRS fonctionnent, ils apportent un soulagement bien plus significatif que celui constaté dans le groupe placebo, en particulier chez les patients atteints de TAG ou de dépression majeure. À un autre moment, A. Denoyelle évoque des milliers de morts évitables. Je n'ai pas les dernières données, mais il y a dix ans, on ne comptait même pas mille morts par suicide chez les moins de 25 ans ; et on ne peut pas imputer l'origine de tous les suicides aux ISRS... Ce ne sont que quelques exemples.
Les ISRS ne sont pas, je l'espère vraiment, l'aboutissement définitif de la recherche de traitements efficaces en matière de maladies psychiques. La recherche doit continuer. Franchement, si on pouvait trouver ne serait-ce qu'un peu mieux que les molécules les plus couramment prescrites (allez, j'inclus même les traitements proposés en adjuvants ou à part comme la mirtazapine, le bupropion, etc.), j'en serais fort soulagé. Avec les difficultés qui nous attendent dans les prochaines années, je ne pense pas être le seul. Pour autant, ils ont leurs mérites. Je crois qu'on a besoin de regarder tout cela avec un peu plus de méthode. Sans la science, on ne peut pas y voir très clair.
Vous semblez bavard !
1500 morts depuis l'autorisation de mise sur le marché et pas par an!
@@michelh2654 C'est un de mes défauts. Mais en l'occurrence le sujet me touche beaucoup et j'aimerais que des médias indépendants le traitent au mieux. Nous méritons une science débarrassée du capitalisme, pas des approximations distillées sous couvert de pensée critique ou alternative.
J'apprécie beaucoup votre commentaire, étant moi même sous paroxétine je me suis reconnus sur pas mal des symptômes décrits par les parents de Florian et Romain. (Grosse fatigue générale, accès de colère, idées suicidaire) Cependant j'ai expérimentés ces symptômes dans des conditions assez différentes de ces personnes, par exemple je suis plus âgé qu'eux. Je suis gêné d'avouer que j'ai encore du mal à évaluer l'effet globale qu'a la paroxétine sur moi et ma maladie, et que j'envisage fortement son arrêt (je sais de quoi il en retourne pas de soucis la dessus), mais je vous rejoint sur votre critique de ce reportage : Cette molécule fut diabolisé de manière trop excessive et il manque le regard sur comment la paroxétine a pu efficacement ''aider'' (j'admet qu'un traitement médicament seul ne suffit pas) des personnes souffrants de maladies mentales.
Merci pour ce commentaire détaillé, très didactique et lumineux.
Je suis sous sertraline depuis 2019 (j'avais 19 ans), à la suite d'une TS, et ça m'a sauvé la vie... Aujourd'hui, je fais une rechute dans la dépression, et je pense sincèrement que sans ce traitement comme béquille, je me serais jetée sous un train...
Pareil, le documentaire manque vrm de bcp d’éléments. C’est des médicaments qui peuvent sauver des vies si ils sont donné dans le bon cadre (avec suivi psy parallèle ext..).
Au début de mon traitement c’était effectivement plus dur mais après la période initiale il y avait pas photo.
J’espère que le documentaire va pas pousser des jeunes a arrêter leur traitement sans consulter avant.
Intéresse toi au psychedeliques
Les psy ont les mêmes problèmes que toi et tout le monde ! Ils souffrent ! Ils sont prisonniers de l'illusion du "moi". Ils pensent savoir, mais ne savent rien ! Bouddha disait:" prenez refuge qu'en vous-mêmes". Ca veut tout dire ! Pas de béquille, pas de fuite, pas d'analyse, etc... Toute cette merde qui va te détruire ! La vérité elle est en toi ! Tu dois passer par cette phase où tu doutes de tout et ne pas fuir devant les faits. La plupart des gens sont hypocrites, ils ne te disent pas qu'ils sont comme toi, qu'ils éprouvent les mêmes souffrances dû à la peur. Bref, tu dois rester avec ces vagues d'angoisse, les observer sans vouloir les dompter ou les analyser, juste les laisser te dire ce qu'elles ont à te dire. Ecarte toi de tous ceux qui veulent t'aider psychologiquement, ils sont ignorants ! C'est facile de dire je me sens pas bien, alors je lui colle ce mot "dépressions". Mais là encore, c'est une façons aisée de fuir les faits. ! Si tu arrêtes de fuir, il va se passer quelque chose, il n'y a pas de de remède miracle, il n'y pas de méthode. La seule alternative à ton mal être, c'est d'arrêter de fuir ! La vérité si elle existe, elle en toi, nul part ailleurs ! Prend un sac à dos, traverse la France ou je ne sais quel pays et fait ce voyage intérieur et tu comprendras où était le problème...
Je suis comme toi, la sertraline m'a sauvée de la dépression. Il y avait certes des effets secondaires chiants mais j'ai choisi ce que je voulais. Je n'ai pas été que sous sertraline : j'ai une thérapie tcc, une bonne psychologue, un psychiatre, un bon environnement familial. Mais l'antidépresseur à été une grande béquille, j'ai littéralement vu ma dépression s'en aller petit à petit au bout d'un mois et quelques semaines. (je trouve ça rapide)
Malgré le reste positif dans ma vie , il manquait plus que des molécules pour rééquilibrer ce qui manquait dans mon crâne !
Je sais qu'on reste fragile tout le long de notre vie là dessus mais savoir demander de l'aide et comprendre qu'on va mal sans être dans le déni aide énormément à chercher comment on peut aller mieux.
J'ai vécu un peu la même chose que les victimes dans cette vidéo
Un psychiatre m'a prescrit quand j'avais 16 ans et demi un antidépresseur en demandant en plus à mes parents de m'interdire de lire la notice, car sinon, selon lui "je refuserai de le prendre". Je ne suis pas dépressive de base, plutôt hypersensible, mais j'avais fait une dépression à l'époque à cause de harcèlement scolaire et maltraitance familiale.
L'antidépresseur m'a rendu hypomaniaque (c'était dans les effets secondaires), donc j'ai fait des choix stupides par la suite, et ça a ruiné mon orientation universitaire donc mon avenir. De plus, quand je prenais ça, j'avais plus aucun esprit critique ni de contestation (j'ai même plus pensé à regarder la notice), j'acceptais tout, ce qui était pratique pour certaines personnes de mon entourage et les psychiatres...
Le sevrage fut horrible, sans l'aide de mon meilleur ami je me serai peut-être tuée. J'ai pris l'antidépresseur 5 ans. Le sevrage a duré 1 ans pour le pire. Pendant 6 mois je dormais maximum 2h par nuit. Pendant les autres 6 mois maximum 4h par nuit. J'étais angoissée tout le temps sans raisons, je comprenais rien, je croyais que je deviendrai folle. J'ai eu des nausées aussi pendant un an, j'avais du mal à manger car tout me donnait envie de vomir (ce qui ne m'arrive jamais d'habitude). Pendant un an, je me suis principalement nourrie de glace à la vanille et un peu de jus de fruit car c'était les seules choses qui "passaient".
Même après le sevrage ce fut difficile, car j'étais remplie de haine (j'avais perdu des années car l'hypomanie provoquée par l'antidépresseur m'avait fait faire n'importe quoi dans mes études), j'en voulais aux psychiatres et aussi à ma famille d'avoir rien remarqué, alors que je faisais n'importe quoi sous antidépresseurs.
Suite à ça, je me suis disputée avec une personne toxique de ma famille, qui m'a envoyée en HP en disant que j'avais "un problème" (car j'avais eu des mots violents durant la dispute).
Là-bas, on m'a dit que les symptômes de sevrage n'existaient pas et que j'étais juste bipolaire. On m'a donné des neuroleptiques de force. Comme j'étais agitée et énervée de mes problèmes familiaux durant l'entretien avec le psychiatres, ils ont pris cela comme un signe de bipolarité. On m'a droguée de force pendant 2 mois, puis on m'a fait des électrochocs (j'ai perdu la mémoire pendant 2 ans de plus à cause de ça, notamment).
Aujourd'hui je reprends les études en travaillant à côté mais j'ai 27 ans. J'ai dû attendre de me remettre physiquement, car pendant 3 ans j'ai eu des maux de tête chroniques et horribles suite aux électrochocs, et étudier était juste trop pénible.
Les psychiatres ont fait de moi une boule de haine (mais qui sait rester civile en société). Ils ont brisé mes rêves. A cause de la psychiatrie, je n'ai pas pu me construire...
Ils ont raison dans le reportage, quand on prends ça, on est plus soi-même. J'ai vécu ça pendant 5 ans sous antidépresseurs, et je n'étais même plus capable de me rendre compte seule que je n'étais plus moi-même...
Je n'ai pas d'armes contre eux. Mais j'espère qu'un jour la vérité sera plus forte. Merci énormément pour ce reportage.
Votre histoire est fascinante et en dit long sur la société actuelle comme sur la médecine, avez-vous pensé à en faire un livre? Tout ça est un vrai sujet. Je vous souhaite le meilleur pour la suite :)
@mouna3795
Un livre je n'ai pas le temps (et j'ai gardé des séquelles neurologiques avec des difficultés de prise de décisions car je ressens moins de sentiments qu'avant à cause des électrochocs), donc pour faire des projets c'est pas terrible), et puis c'est compliqué et ça ne toucherai pas grand monde, mais j'aimerai un jour tenter d'en parler par vidéos (youtube, tiktok), quand j'aurai le temps, on commence déjà un peu à dénoncer les dérives de la psychiatrie sur internet et j'en suis contente :)
Merci beaucoup en tous cas! ☺️
COURAGE par L'AMOUR ÉTERNELLE VOUS ETES ETABLIE REGARDEZ LE PRESENT ET LE FUTUR❤❤ DIEU SAUVEUR JÈSUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR SAUVEUR FAIT GRÂCE.AMEN AMEN AMEN ❤❤❤
@@Louve-w9w Je vous y encourage, ça sera un travail d'utilité publique 🙂
Mon fils a vécu la même chose que vous pareil exactement la même chose il a 36 ans et sa vie est foutu il est traumatisé
J'ai euh un psychiatre qui me faisait la leçon par ce que je lisais la notice.
Moi j'ai un ami qui voulait voir un psy en CMP pour des pensées suicidaires, anxiétés sociales et un possible TSA. Il a été a un premier rendez vous avec deux infirmières psys pour filtrer ceux qui méritent de voir le psy ou pas.
Résultat: recalé au motif qu'il a déclaré ne pas vouloir prendre d’antidépresseurs (il est contre tous les psychotropes).
😄
Ouai fin calmos, y’a des gens très bien au cmp aussi, suivis depuis des années. Faut arrêter de toujours dire les cmp surmédicalise les cmp sont éclatés etc etc. Tout dépend des praticiens.
Honteux
@@broussailleuxc'est vrai tout dépends des praticiens...mais il y a plus de psys éclatés qu'ailleurs c'est un fait
Je suis pharmacien et j’ai déjà été sous paroxetine avec les effets indésirables qui sont mentionnés. J’aimerais juste amener un peu de contexte. Oui la prescription des antidépresseurs est un peu abusive en France (tout comme les autres médicaments) les médecins ne sont pas forcément bien formé sur le bon usage du médicament.
Concernant les antidépresseurs en début de traitements ils présentent tous ce problème de levée d’inhibition (pouvant amener au suicide) qui dure 2 a 3 semaines un peu plus chez les personnes âgées c’est enseigné en faculté de pharmacie et c’est décrit dans les RCP (= notice des pro de santé) et la notice de la boîte. Il est important de comprendre que ce risque est connu et qu’on peut le gérer en prescrivant un second médicament des benzodiazépines pour éviter cette levée d’inhibition sur 2 a 3 semaines (et pas le tercian comme dans la vidéo).
C’est difficile à entendre pour la population mais tous les médicaments présentent des risques et des bénéfices y compris les antidépresseurs. Dans cette vidéo on ne présente que les risques il est important de rappeler que ces antidépresseurs permettent également de sauver des vies et de soigner des dépressions et que cet effet est prouvé scientifiquement (a noter que le traitement devrait normalement être accompagner d’un suivi psychologique et/ou psychiatrique mais que c’est vrai que c’est pas assez le cas en France).
Il faut aussi savoir que les médicaments antidépresseurs ont une efficacité très variable d’une personne à l’autre il faut parfois changer plusieurs fois de molécules avant de trouver la bonne molécule et malheureusement on a pas encore d’outils pour prédire leur efficacité (mais dans les années à venir ça ne m’étonnerait pas qu’on puisse faire des tests pour choisir le bon antidépresseur pour la bonne personne du premier coup)
Je trouve que cette vidéo fait un peu trop le procès du médicament alors que c’est un problème de mauvais prise en charge des soignants qui n’ont pas alerté sur les risques les patients et pas agi en conséquence
Merci d'apporter ces nuances. Les antidépresseurs sauvent des vies.
Merci, j’ai été déçu par le manque de cadrage des propos de ce documentaire…
Complètement d'accord avec vous! Je fais partie des gens qui sont toujours de ce monde grâce à ces médicaments et de bons médecins 😊
Mon cœur est brisé par ce documentaire, mais ça ouvre beaucoup les yeux, sur tout ce qui nous entour et l'amour qu'on peut donner aux gens pendant qu'ils sont là
ne laissez pas les harcelés seuls, les harceleurs parviennent à s'imposer de plus en plus, ce sont les autres qui s'effondrent, ce n'est pas juste.
psychiatre= 10 ans d'études pour finir dealer! Et on ose appeller ça du soin
C’est exactement cela !
De tout cœur avec ces familles qui traversent des moments tellement douloureux.
Merci Blast de leur donner la possibilité de s'exprimer et de relayer leur combat.
j'ai pris de la paroxétine environ durant 2 mois et demi suite à des difficultés à rester dans un "boulot" sans angoisse et crise. On m'a dit au début que les effets négatives partiront au bout d'un mois, et bien c'est faux, je me suis sentie comme un zombie durant 2,5 mois. Quand je me levais le matin j'avais toujours envie de dormir, alors je dormais(beaucoup trop). J'avais encore plus de difficultés pour faire des tâches classiques comme manger, se laver, dessiner(passion), etc etc. Puis le jour où mon 1er arrêt maladie s'est terminée et que je devais retourner à ce "boulot", j'ai fait une immense crise et j'ai pensé au mauvaise chose (j'évite les détails) et j'ai eu très peur de moi même car je n'ai jamais eu ce genre de pensée avant, j'aime la vie malgré les difficulté. Je crois que c'est 1 mois après ce jour que j'ai arrêté le traitement. J'ai fait l'erreur de l'arrêter d'un coup, mon mental ne c'est au moins pas aggravé durant le sevrage mais je me sentais étrangement légère (comme une grosse fièvre) avec de grosse palpitation désagréable. Aujourd'hui je n'ai aucun suivi (faute d'argent car impossible de reprendre un travail pour le moment) alors j'essaie de travailler sur moi même "seule" en m'accordant des faiblesses sans me culpabiliser(difficile). Je parle beaucoup de ma vie et c'est loin d'être la chose que j'aime faire en publique mais je voulais au moins partager ce court témoignage que je considère important.
Merci pour ton partage et courage à toi 🙏🏻 ❤️
Les conflits d'intérêt des médecins avec les laboratoires pharmaceutiques sont incommensurables 😢!
En effet les médecins généralistes et les psychiatres ne connaissent que les ISRS en première intention.
Malheureusement les généralistes ne connaissent rien à la santé mentale et les psychiatres ne font pas vraiment d'évaluation alors que toute prise en charge psy devrait s'accompagner d'un suivi purement psychologique dans ce but. Savoir ce qui ne va pas avant toute décision concernant la prise d'un médicament qui est juste devenu la facilité.
C'est aussi du à l'état catastrophique de la psychiatrie en France il ne faut pas se voiler la face. Les moyens alloués sont ridicules par rapport au problème.
Un autre problème est que notre pays est ultra conservateur en ce qui concerne tout essai clinique novateur utilisant des psychotropes classés comme stupéfiants (je pense en particulier à la psilocybine, ou encore la kétamine, les deux à usage thérapeutique bien sûr).
Du coup on reste coincé dans les mêmes vieux schémas de prise en charge qui sont devenus la norme.
Combien de médecins prescrivent des anxiolytiques à vie par facilité alors ce c'est censé être des traitement de transition (quelques semaines tout au plus)...
Encore une fois, la psychiatrie est le parent pauvre de la médecine dans ce pays (et quand on sait l'état de la médecine dans son ensemble ça fait peur), c'est vraiment effrayant et ça ne risque pas de changer de sitôt malheureusement :/
La psychiatrie est une arnaque. Sauf pour les troubles psychiatriques sévères comme la shizophrenie. Le reste peut être amélioré avec des protocoles que j'ai adopté. Sprt, hygiène alimentaire. Hygiène relationnelle. Abstinence alcool et autres produits....et avoir la foi en Dieu. Un psychiatre m'a dit que c'était du mysticisme... avoir fait 10 ans d'études pour ça...Freud était un consommateur....
MERCI POUR CETTE ENQUËTE. Elle parle de ce que ma fille vit, de ce que je vis depuis maintenant trois ans.
Oui moi aussi avec mon fils
Merci Blast, documentaire d'utilité publique et à relayer un maximum...
Bravo pour ce travail de dingue, pour vous dire même mon gyneco a essayé de me filer des anti dépresseurs, c’est n’importe quoi
On prescrit les IRSS pour plein d'autres problèmes comme la dépression post-partum, les migraines, etc. Il n'est donc pas étonnant que votre gynécologue vous ait proposé ce traitement. Les médicaments ne sont pas réservés à une spécialité de médecine mais aux problèmes qu'ils doivent résoudre.
Je suis assez surprise par ce docu, dont la rigueur ne reflète pas ce à quoi Balst nous habitue. Le documentaire est très à charge, on trouve peu d'expert-es qui livrent leurs conclusions (un seul psychiatre), visiblement pas de droit de réponse pour confronter les différents point de vue. Aucune comparaison statistique avec d'autres antidépresseurs (ceux qui étaient sur le marché avant, les autres familles d'antidépresseurs, que sais-je).
Notre système médical bien mal en point suscite de plus en plus de défiance (et parfois à raison bien sûr), cela fait aussi le lit de tout un tas de croyances pseudo-scientifiques, sans fondement qui sont dangereuses (plein de personnes tombent dans le panneau de groupe classés "dérives sectaires" par la Miviludes).
En ce sens, il aurait été plus que souhaitable de rappeler que la médecine fonctionne sur le principe de la balance bénéfice-risque et de présenter des chiffres qui évoquent également les bénéfices des AD pour pouvoir tirer de vraies conclusions (ou au moins entamer une vraie réflexion) sur les ISRS. Là, on dirait que vous découvrez que les médicaments ont des effets secondaires et j'ai la désagréables impression que vous agitez cela sous le nez des gens pour générer du clic, sans le mettre en perspective. Le doliprane aussi comprend une longue liste d'effets indésirables, pour autant le bénéfice qu'il procure est supérieur à un tel point qu'il est recommandé de le prescrire, et je ne crois pas qu'il faille remettre cela en question.
On entend à plusieurs reprises que ce ne sont "pas des cas isolés" puis (enfin) un chiffre est donné :1500 cas d'effets suicidogènes depuis la mise sur le marché. La mise sur le marché, c'était quand? 1500, d'accord, mais sur combien de patient-es qui en prennent ? Je crois savoir que la dépression peut pousser au suicide, alors qu'en est-il du taux de suicide (ou d'idées suicidaires) chez les personnes souffrant de dépression ? Encore une fois on est sur un criant manque de rigueur ici.
Même si je comprends le souhait d'humaniser le sujet en laissant la place aux familles, on a presque l'impression que leur parole a une valeur scientifique or elle est le reflet d'expériences individuelles ce qui va dans le sens inverse de la rigueur scientifique (des etudes avec un grand nombre de personnes, en double-aveugle etc). Le témoignage individuel, ne fait pas science...
Merci pour ce retour qui met des mots sur le malaise ressenti pendant mon visionnage. Il est important, dans le cadre du discours sur la santé mentale, qu'on visibilise les personnes que les médicaments ont aidé, voir sauvé, parce qu'il y en a (j'en fait partie). Cela permettrait de dédiaboliser les traitements et de rassurer les personnes très sceptiques vis-à-vis du corps médical. Beaucoup de gens passent à côté de solutions en ayant une peur démesurée des traitements, et c'est triste que Blast l'alimente. Toutefois, très intéressant de mettre en lumière ces effets secondaires et ces véritables risques, qui en étant conscientisés par le patient, l'entourage et les médecins, peuvent être amoindris. Ma critique n'enlève absolument pas la légitimité à ces familles de parler et partager cette expérience traumatisante et le fait qu'il est important de partager ce genre de sujets sur des plateformes accessibles à toustes. C'est juste qu'un exposé plus nuancé aurait sans doute été bien plus juste et honnête intellectuellement parlant.
Vous souhaitez des données cliniques: celles de GSK sur la paroxetine sont accessibles depuis 2004 suite à un accord avec FDA et la justice américaine. Si vous voulez vous convaincre avec des statistiques relisez les narratifs des evenements indesirables graves survenus lors des essais RCT 329, 701, 704 etc... Vous pourrez vous faire vous-meme une bonne idée de ce qui arrive ou pas avec la paroxétine. Il y a aussi les données de pharmacovigilance. La base de la FDA est accessible. Les données des RCTs X065 et HCJE de Lilly pour la mise sur le marché de la fluoxétine pour une population pédiatrique sont en partie accessibles. Je recommande encore de regarder les effets indésirables survenus qui ont justifié l'arret du test pour les patients concernés.
Les victimes ou proches de victimes des medicaments ou therapies sont rarement interviewées sur les médias mainstream. Vous mettez en avant les statistiques médicales. Les statistiques ca peut etre tres bien. Mais c est très facile à truander. Et dans le cas de GSK et leur médicament paroxétine il y a bien eu fraude avérée concernant les statistiques des données des tests RCT (proces 2012). Enfin et surtout les statistiques ce n est pas la medecine. Les effets d'un meme médoc sur des patients sur differents peuvent etre très differents. Cette remarque justifie de former et de payer des médecins pour faire le job de prescription.
MERCI!
Sauf que les études prises dans leur ensemble démontrent une inefficacité des antidépresseurs, sauf lorsque la personne est dans une dépression très grave. Donc balance bénéfice risque nulle/négative pour plus de la majorité des personnes se faisant prescrire ces médicaments dont les effets secondaires sont élevés. Par exemple le safran s'est révélé être aussi efficace dans les études que Prozac. Alors pourquoi ne pas en prescrire si ce n'est pour gaver le lobby pharmaceutique ?
C'est un sujet qui me touche énormément, c'est du vécu 😮💨 Merci à ces parents si courageux ❤️🔥Merci Blast, je partage 🌬️🕊️
Le cœur soulevé pour ces jeunes et leurs familles... De nouveau cela pointe le fait que l’industrie privée n'est pas dans l’objectif de l’intérêt général mais bien dans l'objectif de profits avant tout...Quoi qu''il en coute...
Merci pour cette vidéo... J'ai ce traitement depuis un an, j'ai vécu un enfer, mon état s'empire de jour en jour, les idées noires et suicidaire ne font qu'augmenter... Ayant pleine confiance en mon traitement, ainsi que mon médecin, je commençais à accepter que je n'irais jamais bien, à accepter que je finirais par mourir un jour ou un autre par suicide, étant consciente que je ne pourrais pas supporter cette souffrance pour plus d'une trentaine d'année... Je suis tellement révoltée, tellement déçue, je me sens trahie. Révolté d'apprendre via RUclips et non via mon médecin que mon traitement m'était toxique. Révolté qu'une personne sensé être qualifié, ai continué à me prescrire ce traitement. Mais j'ai enfin retrouver l'espoir, l'espoir qu'un traitement différent pourrais enfin m'aider. L'espoir que ma souffrance s'estompe, l'espoir de pouvoir vivre, comme tout le monde, sans être fataliste. Je vous remercie pour cette video, qui fait preuve de sensibilisation, et j'envoie tout mon amour et mon soutient aux parents de Florian et Romain
Bonjour Mirabelle....vous l' avez formidablement bien exprimé...de l amour....voyez personnellement rien que de prendre du donormil suffisait à déclencher..des idées noires ... voilà un comble pour un produit destiné aux insomniaques ...
Apprenez à vous connaître, a présent vous savez que pour vous...le risque est réel... inutile d' en vouloir...a cette société qui traite....
Regardez aujourd'hui...lol ..vous êtes consciente et c'est probablement par là...de ce fait , que viennent vos troubles anxieux...( J exclue maladie mentale réelle..je ne suis pas médecin..et je n ai rien à vous vendre..ce message est altruiste et sans intention.)
Voyez ont me dit que j'aurais pu être.. thérapeute...lol ..je me vois mal vous soutirer 70 euros par séance....
La santé mentale est fortement dégradée à l' image du milieu qui nous entoure .
Surveillez vos consommations notamment tout ce qui est psycho stimulent....prendre soin de son intestin et des contenus bon marchés que l' on nous sert...à bas coût...👈c est le cas de le dire... Connaît toi toi-même, c est souvent la résistance qui fait mal ....la bonne nouvelle pour vous, c'est que vous avez appris par vous même au travers des témoignages des autres...mais seul votre cas compte car vous êtes unique et donc celà demande a chacun de pratiquer le discernement et la modération car ... parfois le recours à la chimie peut être efficace dans une juste mesure...
Belle journée..
ne fais pas de connerie ! On t'aime
Merci Blast d'aborder ce sujet, même si trop peu de place est laissée à une information scientifique de qualité.
Les témoignages, poignants, le travail d'enquête sur l'opacité des firmes, salutaire, la critique des défaillances de notre système de santé, tout ça me va.
Mais beaucoup de spectateurs de la vidéo prennent sans doute des antidépresseurs à juste titre, prescrits et évalués au mieux, et avec des bénéfices malgré les risques associés. J'imagine que le malaise qu'ils ont pu ressentir devant vaut dix fois le mien. Je ne peux que les inciter à discuter avec leurs soignants et/ou à prendre un autre avis sur leur cas personnel avant de jeter leur médicament avec l'eau du système.
Enfin, quand vous traitez ce type de sujet, je ne peux que vous conseiller de vous appuyer, pour le versant scientifique, sur le travail de la Revue Prescrire, revue de thérapeutique indépendante, financée par ses abonnés, comme vous : vous serez certains d'y trouver à la fois de l'esprit critique et de la rigueur scientifique.
Continuez, vous faites du super boulot, mais on peut toujours s'améliorer ;)
La santé mentale des jeunes est très importante. J'ai 24 ans et je fais des épisodes dépressifs violents depuis mon adolescence. En 2022 j'ai finalement fait le pas de voir une psychiatre pour demander une aide médicamenteuse. J'ai de la chance de pas avoir eu des effets secondaires sauf de l'hymersomnolensce pendant une semaine. Je connais des ami.e.s qui ont fait des réactions violentes à leurs traitements et qui, parce que bien entouré et à la capitale par exemple, ont directement pu changer en discuter avec leur médecin. Ces témoignages m'afflichent terriblement car ces deux jeunes hommes nous ont quitté de manière horrible.. Je suis suivie en Belgique personnellement mais je presume que les lobby sont les même partout...
Ce n'est pas le genre de sujet qui risque d'être traité sur une chaîne nationale à une heure de grande écoute !! J'ai été soignée pour un état dépressif avec un médicament dit de nouvelle génération. Mon état s'est aggravé en huit jours. Selon mon généraliste, je devais faire preuve de patience. Mon organisme allait s'y habituer. Au bout d'un mois, je stoppais ce traitement après avoir lu les effets secondaires !!! Ma fille, pré ado à l'époque, aurait pu devenir orpheline ! Il faut avoir conscience que les médecins bénéficient de " cadeaux" comme des week-ends tous frais payés, de la part des firmes pharmaceutiques en remerciement du pourcentage de prescriptions de certains médocs, ce qui les encourage forcément ... cette pratique devrait être carrément interdite.
Vous avez raison madame, ma fille de 16. Ans aujourd'hui a fait cette mauvaise expérience, heureusement Au bout de 2 mois j' avais tout arrêter, beaucoup de médecins ont vendu leur âme au diable 😈
Quel nom antidépresseurs svp
@PascalGagnieux cymbalta. Je tremblais comme une alcoolique en manque. Je n'arrivais plus à penser. J'arrivais au supermarché en bas de chez moi, j'avais oublié ce qu'il me fallait. Je devais prendre 3, 4 douches par jour tellement je transpirais. La transpiration et les urines sentaient le poisson pas frais du jour !!! Une vraie catastrophe.
@laurenceverdiere390 courage
La pression performative (Etudes, Sports, Societale etc..) pousse les jeunes vers la consommation de produits psychotropes (Cannabis, médicaments etc..) avec la complicité des industriels et le silence coupable des "responsables" politiques de la Santé publique.
C'est exact. 👍
Le cannabis n'est pas bon pour le cerveau de nos jeunes mais les médicaments prescrits en masse aux jeunes sont vraiment bien plus dangereux.
Oui, moi pour réussir à me construire une vie à peu près normale j'ai consommé du Tramadol quotidiennement pendant près de 8 ans. Je suis toujours sous buprenorphine aujourd'hui et un vie pas super stable parceque pas totalement diagnostiqué, anxieux (suite au harcèlement scolaire) et trop introverti pour la vie que je mène.
Oui c'est clair, on a tellement envie de performer au sport et aux études après avoir fumé!
(Hors blague, d'accord avec le reste)
Enfin le cannabis reste bien moins dangereux que certains AD et les Benzo et aussi efficace.
Tout mon soutien aux familles des victimes. J'ai beaucoup de respect pour leur combat et je leur souhaite bon courage dans leurs démarches. Il ne faut pas hésiter à informer autour de soi avec toutes les précautions nécessaires afin d'éviter de nouveaux drames, de très nombreuses personnes ont des problèmes de santé mentale dans notre pays et elles ne reçoivent pas les soins appropriés.
Mon meilleur ami s’est suicidé vendredi dernier. Sous AD depuis des années, 2 jours avant le drame, il m’a dit qu’il diminuait et se retrouvait « enfin ». Il n’avait que 30 ans. Depuis des années ils le bourraient de nouveaux traitements d’hôpitaux en HP.. prozac dès ses 12 ans …
Merci à Thibault Izoret et l'équipe de Blast pour ce reportage !
Quand l'argent remplace l'éthique.
Bienvenu dans le monde capitaliste
Et surtout néolibéraliste!
@@Francoise-hh4pg C'est vrai, après est-ce que le néolibéralisme n'est pas la suite logique du capitalisme ?
La praticienne qui a dit à ces parents en deuil qu'elle prescrit ce médicament à tout le monde devrait être sanctionnée. Comment on peut prescrire quelque chose sans savoir un minimum ce qu'elle donne ?! Je comprends pas.
Si justement, tu as très bien compris, ces médecins donnent des médocs qu ils ne connaissent pas ! Nos docteurs en France sont devenus des commerciaux, des vendeurs, des distributeurs autant que les pharmacies d aujourd'hui. Seul le chiffre compte, la santé passe après 😳😤😤😤🤬🤬🤬
Cela arrive très souvent malheureusement…
@leclercleslie9051 à quoi sert le conseil de l'ordre franchement ? Ça me scandalise. C'est la vie des gens, pas un jeu.
Pour te dire, j'ai vu un psychiatre, il y a un an pour des problèmes cognitifs qui m'handicapait dans le travail, dès la première séance, il m'a prescrit des anti depresseur, au bout de 15 min, il me parlait déjà que de ça.
A aucun moment, ils essaient de régler des problèmes autrement.
Franchement, il vaut mieux aller voir des psychologue, ils ne peuvent rien prescrire donc ils gèrent tout autrement.
@damiengiraud-rk1pc finalement oui, tu as raison car si c'est pour te prescrire des médocs tout cela parce que l'industrie le préconise et ainsi faire faire des bénéfices à cette industrie au détriment des patients, je ne vois pas l'intérêt...
J'ai consulté un très bon psychiatre pendant 7 ans..jamais il ne m'a prescrit de médicament. Il m'a juste donné toute son écoute et son attention, j'ai eu beaucoup de chance. Je suis tellement désolée pour ces parents🙏
@@Carena6044 Si si ça existe. Peut-être que la psychiatrie convient pas à tout le monde.
Vous avez eu beaucoup de chance.
Donnez des médicaments 💊 c'est la facilité et très rentable. Mais cela ne règle strictement rien.
On en revient aux intérêts de big pharma, toujours au même point jusqu'à quand ?
@@patriciaferrini-xt1ry Les médicaments étaient utilisées avant big pharma. Les anti-dépresseurs c'est un vrai truc. Après s'en servir en pensant que ça va régler le problème c'est chaud.
Merci pour ce reportage. Je suis moi-même sous Paroxetine et ce médicament m'a sans doute sauvée quand je l'ai pris mais j'etais beaucoup plus âgée que ces trop jeunes victimes et j'étais réellement dépressive. La prescription chez moi a été réfléchie et était justifiée. C'est la différence entre une approche à hauteur de patient et d'humain et une approche systématique et "processuelle" qui est celle de notre monde actuel dans toutes les activités et qui mène à notre perte 😔
Paroxétine efficace, mais surdosage absolument dévastateur ! Méfiez vous. Je sais de quoi je parle, malheureusement. Et à l'arrêt c'est épouvantable si la prise à duré plusieurs années. Un cauchemar. De grâce Anne, ne prenez pas cette molécule sur le long terme (plusieurs années).
J'ai eu une prescription, bien plus âgée aussi, mais je me méfie du manque de données sur les femmes dans les tests cliniques (cf "Femmes Invisibles", Caroline Criado Perez, qui traite - entre autres - de ce manque de données, et des drames sanitaires que cela engendre pour les femmes)
Cette molécule peut effectivement apporter qq chose, mais les effets sont dévastateurs si surdosé. Et l’arrêt est épouvantable si le traitement s'est prolongé sur plusieurs années. De grâce, méfiez vous. Je sais de quoi je parle.
Dur de parler d'un sujet aussi sensible, bravo a blast et merci
C'est triste, et douloureux pour les parents. Bon courage à vous et merci blast
comment ne pas etre dépressif dans ce monde lorsqu on es sensible et informé ?? Je vais de + en + mal, j ai perdu tous mes derniers amis
Oui cela fait très longtemps qu'on sait qu'il y a un risque d'augmentation des actes suicidaires avec les antidépresseurs. Maintenant j'attends avec une grande impatience un docu sur les neuroleptiques/antipsychotiques parce que PERSONNE ne s'est emparé du sujet et pourtant les prescriptions ne font que croître.
Je suis psychologue et je peux vous assurer qu'il est assez rare que les psychiatres nous adressent des patients. Dans l'esprit du grand public, cela revient trop cher de payer des séances chez un ou une psychologue. On ignore que beaucoup de psys ajustent leurs honoraires sur les revenus des patients. Pour ma part, il m'arrive de faire pratiquement du bénévolat. Par ailleurs, étant donné que d'une façon ou l'autre, nous sommes chapeautés, voire traqués par les psychiatres, nous n'avons pas intérêt à critiquer la prise de médicaments. Pour ma part, je conseille toujours de diminuer et non pas d'arrêter. Mais quand on connait les doses prescrites et les patients" zombifiés" qui arrivent, je ravale ma révolte, c'est tout ce que je peux faire. Par contre je ne comprends que des gens qui ont quand même a priori les moyens s'acharnent à faire appel à des psychiatres, simplement parce qu'ils seront remboursés par la sécu. Mais nous sommes dans une société ou la parole, c'est du vent, ça ne peut pas guérir. Par contre les médocs, si....
foutaise,societé coupée de l'essentiel devient malade et c'est ni vous ni la chimie qui feront du bien aux souffrants des maux sur lesquels vous gagnez de l'argent,qu'ils aillent marcher en Montagne ou sur une cote sauvage ou encore dans une dense foret,s'il nous en reste! et il iront mieux et peut etre bien! vous creuser les problemes avec vos professions adaptées qui ne soignent pas,vous etes des barrieres à l'émencipation des etres
Quand j’écoute ces témoignages de jeunes soumis à ce type de traitement de psychotropes lourds tel que Tercian et autres je me demande comment et où les psychiatres ont fait leurs études ??? C’est une aberration et un non-sens de la médecine thérapeutique ! 😢 Il faut vraiment tirer la sonnette d’alarme car on détruit de jeunes vies et tout le potentiel intellectuel des jeunes gens
très intéressant. J'ai vu des dizaines de psychiatres depuis 2010.. AUCUN NE M'A DIRIGÉ VERS UN PSYCHOLOGUE !
J'ai aujourd'hui la chance d'avoir un psychiatre correct qui me donne l'opportunité d'aller prendre toutes les solutions qui sont autour de moi car il le dit lui-même " je n'ai pas la science infuse".
Le problème est que le psychologue n'est pas remboursé par la sécu et que je n'ai pas les moyens d'aller voir un spécialiste sachant que la moyenne de la consultation est de 50-60€ et que je perçois une AAH.. le serpent qui se mord la queue!
Merci pour ces témoignages et cette recherche de vérité ô combien indispensable ! Notamment après cet épisode de la Covid qui a tellement fragilisé nos jeunes et donc les familles et le manque de réponses adaptées.
Merci pour ce reportage bouleversant et émouvant. Soutien aux victimes
J'ai un master dans le domaine des psychotropes, et j'en ais moi-même prix.
Je trouve le ton trop diabolisant, il y a beaucoup de gens qui sont sauvés par ces traitements.
Cependant, je dois reconnaître que le plus gros problème c'est le déni de réalité de l'industrie et/ou des professionnels, vis à vis des effets secondaires à long terme sexuels, ainsi que les pulsions suicidaires qui peuvent avoir lieu en début de traitement. J'ai pu le voir dans mon cas, le début de traitement anti-dépresseur était abominable, mais après deux semaines j'était apaisé, sans angoisse, mais avec zéro adrénaline je ne perdais pas que le mauvais stress, mais aussi le bon stress, et j'était donc nettement moins dynamique.
Pour moi, la base de la bonne pratique, c'est d'annoncer les effets secondaires attendues, et de toujours observer les effets secondaires des médicaments en voyant les patients comme des êtres humains. Le but est d'améliorer leur qualité de vie, pas de les normaliser et de les rendre comme tout le monde.
Tout à fait d'accord 👍
Suite à ma 1e infection du covid, j'ai développé une dépression (ce que je n'avais jamais eu). On m'a prescrit un SSRI tout en m'informant du risque de pensées suicidaires. J'ai fait très attention pendant les premières semaines mais heureusement tout s'est bien passé et ce médicament m'a vraiment sauvé.
J'en ai pris pendant 1 an sans problèmes.
Il fait absolument informer les médecins et les parient.e.s du risque 🙏
Pour un "master" que de fautes d'orthographe ! Qu'importe!
Plus sérieusement, le problème ce n'est pas l'action d'un seul médicament, mais bel et bien les interactions entre plusieurs médicaments. Pour ma petite expérience, dépressif à la suite de mon divorce, j'ai eu à prendre jusqu'à 12 item ! Et bien sûr, on ne connait pratiquement rien de ces interactions... La science ???? La science est muette à ce sujet !
Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas là l'évidence d'une médecine inféodée aux laboratoires...
Enfin, je suis d'accord avec vous sur votre dernière phrase... Et c'est là le grand défaut de l'analyse freudienne qui, voulant réinsérer l'individu dans la société, tend à le normaliser pour qu'il suive le "troupeau" en bêlant les lieux communs pondus par les merdias, nos chers politiques et les capitos obèses, lieux communs qui remplacent, pour le plus gros du troupeau, "la pensée" véritable en en étouffant toute originalité...
vous trouverez certaines réponses dans le livre de Peter C.GOTZCHE paragraphes 17 et 18 :" remèdes mortels et crime organisé ou comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé"..
@@jeanclaudemeyer9188Je me suis dit la même chose bcp de fautes d'orthographe pour un master 😅
@@jeanclaudemeyer9188 J'ai un doctorat et je fais beaucoup de fautes aussi... faut penser trans-classe aussi. Si tes parents t'ont jamais aidé ou que t'as jamais pris goût à ça, ben tu galères.
La pauvre dame Japonaise a l'air tellement résignée 🌺♥️
Elle croit en plus que c'est de sa faute, la pauvre...
Le drame des fameux protocoles qui rendent les médecins crétins...
Je me souviens de ces 2 jeunes internes qui voulaient m'opérer d'urgence pour un non problème (en consultant je ne sais quel document qui précisait qu'au delà de 50mm il fallait opérer!) et mon chirurgien haussant les épaules en lisant leur rapport. Comme il partait à la retraite, j'ai anticipé ma seconde intervention (normale compte tenu de ma pathologie) pour être sûr que ce soit lui qui m'opère, sans tenir compte du diagnostic protocolaire.
Las! s'il n'y avait que les médecins qui avaient renoncé à leur intelligence au profit des protocoles...
Malheureusement cela ne touche pas seulement les jeunes..... Merci pour ce reportage.
Les antidépresseurs coupent le lien du cœur vers la conscience, on a envie de rien = on est est plus en Vie.
complètement faux, j'en ai pris pendant 6 mois je n'ai jamais ressenti ce que vous décrivez et ca m'a même beaucoup aider a me relever d'une dépression qui trainait depuis plusieurs années.
Normal cest du placebo @@vincentpatris3407
Merci pour ce documentaire je pense qu’on en parle pas assez du mal que peut procurer ces médicaments qui sont sensés nos « guérir ». J’ai moi même eu ces médicaments du tersian, du alprazolam, du repéridon et de la setraline prescrit par des psychiatres à mes 14 ans jusqu’à mes 16 ans environ. Mes émotions, mon être était éteint j’étais juste morte de l’intérieur, je ressentais plus rien et ma dépression ainsi que moi anxiété augmentait j’avais de plus en plus envie d’en finir. Je restais toujours dans ma chambre j’avais un manque d’hygiène, et j’avais des problèmes de nutrition. J’ai arrêté ces médicaments toutes seules (chose à ne pas faire je pense), j’ai pris 3 ans pour retrouver mon état naturel je me retrouve vivante. Durant cette période de ma vie je faisais énormément de déréalisation et je dormais beaucoup, j’étais aussi violente envers les gens je ne contrôlais plus rien…
Actuellement j’ai 19 ans et j’ai toujours des problèmes des socialisations, de l’anxiété sociale et des tendances à avoir des périodes de dépression mais je vais mieux. Je précise également que quand j’avais ces médicaments j’étais incapable d’apprendre à conduire et c’était dangereux pour moi.
J’espère de tout mon coeur que chaque personne dans ce monde ayant des problèmes psy ou ayant des médicaments de cette sorte prescrite s’en sortira dans leurs vies 🤍
(Désolé pour les fautes je suis dyslexique)
Je me retrouve dans ton témoignage, j’ai souffert de dépression sévère durant plus d’un an, j’ai mis deux ans à m’en remettre…
T’inquiète, on s’en fiche des fautes, ton propos est très compréhensible
On te remercie de nous l’avoir partagé, car sans nul doute, ton expérience en aidera plus d’un
Merci à toi ❣️
Quand j’écoute ces témoignages de jeunes soumis à ce type de traitement de psychotropes lourds tel que Tercian et autres je me demande comment et où les psychiatres ont fait leurs études ??? C’est une aberration et un non-sens de la médecine thérapeutique ! 😢 Il faut vraiment tirer la sonnette d’alarme car on détruit de jeunes vies et tout le potentiel intellectuel des jeunes gens.
À l'age de 22 ans, j'ai vécu un gros échec universitaire, je suis tombée en dépression, toujours très triste mais pas d'idées noires.
J'ai beaucoup maigri et mon medecin m'a prescrit des antidépresseurs qui soit disant m'ouvriraient l'appétit.
Je n'ai pas pris un gramme et je me suis surprise un soir à m attacher une écharpe autour du cou et à serrer de toutes mes forces...
J'ai jeté la boite quelques jours plus tard car j avais énormément de pensées suicidaires.
Attention à ses "médicaments"
Ils faut avertir un maximum de gens sensibilisé de plus en plus de gens partager un max pour pas que de nouvelles personnes tombe dans ce cercle vicieux, ce n'est pas que les antidépresseurs le problème mais tout les médicaments psychotropes de toute classe
C’est tellement triste 😢
Ils le savent très bien ça dure depuis une cinquantaine d'années , grosse colère contre ces sachants irresponsables🥵
Qu’ils reposent en paix 🤍. C’est tellement triste.
J’ai souffert de dépression sévère pendant plus d’un an, j’ai réussi à m’en sortir après plus de deux années de souffrance, grâce à Dieu.
Oui bravo, il faut s'orienter vers le spirituel, la prière mais bon ce n'est pas conseillé pour préserver leur business,
La mise sur le marché de Paroxétine ne date pas d'hier, j'en prends depuis plus de dix ans et si le risque du suicide en le prenant existe le contraire l'est tout autant pour moi. Sans la prise de cet antidépresseur le risque de suicide peut aussi s'avérer possible.Dans le reportage on ne mentionne pas les risques que l'alcool associé aux antidépresseurs peuvent induire chez les jeunes.
J'habite en Panama. Il y a 3 ans j'ai eu un rendez-vous avec une psychiatre 3 semaines après que j'avais eu une experience traumatique qui m'avait rendu anxieux. J'ai pris cet rendez-vous par recommendation de ma famille. J'avais déjà des thérapies chaque semaine avec un psychologe. Depuis presque 20 minutes de conversation, la psychiatre a commencé à m'expliquer que j'avais besoin de prendre ISRS pour traiter ma anxiété. Pendant la prochaine séance avec mon psychologe, il m'a appliqué un test pour évaluer ma anxiété et après m'a assuré que c'était pas si grave. Donc j'ai vu coffirmé mes intentions de ne pas prendre telles médicaments en considérant que mes symptoms n'étaient pas si fortes et que des gens qui je connais m'ont racconté de ses mauvaises expériences.
Le tercian (neuroleptique!) c'est juste de la torture, ça ne devrait pas être utilisé et distribué dans les hôpitaux psy à tour de bras à tout le monde et pour toute les pathologies c'est complètement révoltant. À croire qu'ils ne savent pas ce que sont les réels effets (comme on le voit dans cette vidéo avec les anti dépresseurs). Ça ne devrait être utilisé qu'en cas pour calmer les délires et hallucinations, en cas de psychose passagère ou établie et de façon réfléchie en fonction de chaque cas singulier et non de façon automatique... Sans parler des conditions d'accueil en hp : Combien de traumatisés à la suite d'hospitalisation qui au moment où ils en auront le plus besoin n'iront pas car traumatisé par les mauvaises conditions des hp publiques et leurs methodes. Sans parler des témoignages de chantage, manipulation, utilisation abusive de l'autorité (menace à la camisole par ex. Ou à l'immobilisation au lit). La relation entre soignant et patient doit être au coeur de la thérapie et d'une qualité méticuleuse et adapté à la singularité du sujet sans parler d'une analyse du contre transfert du coté soignant (mettre son égo de coté au profit du patient, avoir un bon insight de son propre fonctionnement au sein de cette relation soignant-soignée).
C'est d'une tristesse...
Tout ce que vous décrivez je l'ai vécu ! Je suis traumatisée par les méthodes inhumaines souvent en maison de santé mentale . Ils m'ont donné un neuroleptique et sans me dire ce que c'était , me disant que c'était un sédatif léger non addictif , j'ai eu de la paroxetine , j'ai du très vite arrêter , idées suicidaires ( pourtant je suis loin d'être jeune ) , plus possible d'avaler , boule consentement dans la gorge, violentes nausées , gros problèmes d'intestins etc etc .. . J'ai mis des mois à m'en débarrasser et des mois à retrouver le sommeil , une vie normale. La méditation , la sophrologie , réapprendre à respirer , des plantes , des médecines dites " douces " etc , m'ont fait sortir de ce cauchemar ! hélas aucune prise en charge par la sécu , et pourtant cela marche ! , . J'aurai tant à dire sur les maltraitances aux malades et les médocs forts qui ne sont pas justifiés .J'ai failli en mourir et pourtant je suis âgée . Ces médicaments font aussi de graves ravages chez les personnes âgées . Je pense qu'il y a surement une relation entre les maladies neurodégénératives et les prescriptions de neuroleptiques , anxiolytiques et anti-dépresseurs chez les + de 6O ans . Les médecins en donnent aux personnes âgées comme si c'était la panacée , alors que souvent c'est de l'isolement dont soufrent les personnes âgées . Tellement à dire la dessus . Mon père a été traité avec des médicaments pour ses angoisses , il a fini avec une maladie neurodégénérative , il est morts à 65 ans à peine à la retraite , alors qu'il n'avait jamais bu ni fumé, qu'il avait une alimentation très saine . C'est tellement facile de faire une ordonnance avec le VIDAL comme seul référence , alors qu'il faudrait juste accorder un peu plus de temps d'écoute aux patients .
Moi aussi, j ai vécu ça, une trahison, j'ai été hospitalisé, on a m'a assommé de médicaments, je suis sorti, j'ai joué le jeu, j'ai pris le traitement, je suis devenu une épave, impossible de travailler, plus aucune émotion, aucun plaisir à vivre. J'ai arrêté toutes ces merdes du jour au lendemain contre avis médical et dans le secret de mes proches et famille ( c'est ça le pire, aujourd'hui les gens boivent les paroles des médecins sans réfléchir) et c'est la meilleure chose que j'ai faite. Certes les premières semaines, un peu dur mais maintenant des mois après j'ai repris une vie normale, dynamique dans le travail et ma vie privée, j'ai des projets , tout se passe bien. L'entourage nous entraîne dans cette spirale aussi, ma famille voulait absolument que je sois sous traitement, aujourd'hui ils savent que je ne prends plus rien et ils voient bien que je vais bien mieux. Je pardonnerai jamais ce que j'ai vécu à cause de ces gens , des mois , années de vie perdu que je rattrape désormais. Plus devoir se justifier tout le temps car les médecins ne comprennent pas qu'on aille mieux sans leurs merde qu'avec. Plus les séquelles que ça laisse sans doute sur le corps au niveau cardiaque etc... Combien de gens auront des problèmes et mourront des conséquences de prises de médocs de ce style sans jamais pouvoir le prouver ?
J'ai fait les mêmes observation que vous. Bravo, d'avoir trouvé les mots justes.
Ce reportage m'a ouvert les yeux par rapport à ces antidépresseurs.
Merci Blast
Dans l'attente d'une suite 👌👌👌
Moi aussi, je suis très touchée 😞
Merci beaucoup à toutes les familles victimes pour votre combat. Je savais que certains anti dépresseurs pouvaient pousser au suicide. C'est pour cela que j'ai demandé à mon fils qui n'allait pas bien psychologiquement d'éviter les anti dépresseurs. Il a pu parler à une psychologue et est revenu habiter chez nous. Il va bcp mieux et a retrouver du travail.
Je suis une victime des implants Essure de stérilisation définitive autre scandale sanitaire.
Je m'en suis sortie et ai témoigné de mon vécu dans un journal LeParisien édition locale comme de nombreuses autres victimes. Je continue à communiquer dessus sur les réseaux sociaux. Il y a encore des femmes victimes qui souffrent sans savoir ce qu'elles ont.
Votre combat n'est pas vain. Il sauve des vies.
Bon courage. N'oubliez pas de vivre aussi pour vous et vos autres enfants. La vie est trop courte. Ils sont aussi des victimes collatérales comme l'ont été mes enfants. J'ai un fils en 7e année de médecine. Je vais lui transmettre votre témoignage. Merci encore ! 💖
Merci BLAST pour ce grand format sur ce sujet o combien d'utilité publique !
Je suis sous 150mg de paroxétine effectivement vu que ça ne marchait pas on a juste augmenter ma dose merci beaucoup pour toutes ces infos j’ai fait une crise de manie récemment je ne savais pas que ça pouvait être un effet secondaire
L'industrie se préserve totalement avec la notice qui accompagne chaque médicament.
Ce n'est pas seulement pour les antidépresseurs.
Ce n'est pas normal que tant de jeunes et autres personnes sont sous une médication qui n'a pas ou peu d'effet.
C'est toute cette nouvelle génération qui est traitée par un médicament pour n'importe quel 'incomfort'. Mal de tête, fatigué, énervement, le burn out, etc. La vie en 2024 et déjà bien avant n'est plus structurée au niveau des efforts NORMAUX pour un être humain. Que ce soit le travail, les sports, la télé, les smartphones, etc nous soit demande beaucoup trop d'énergie et surtout avec l'informatisation générale, la constante disponibilité pour le travail, même en dehors des WE voir même la nuit, ne laisse plus ou très peu de possibilités à l'individu d'être maître de son travail, pour les loisir également, tout est régi par l'intelligence ARTIFICIELLE, souvent vous n'avez la possibilité de différents choix, imposé par un ROBOT. Même un simple coup fil à n'importe quelle forme LIMITE TOUT CONTACT HUMAIN, style répondeur 'poussez sur le 1,2,3 si.. et ça n'en finit pas. Dans d'autre cas l'on vous dit 'vous êtes la trentième personne en liste d'attente ensuite l'on vous fait écouter n'importe quelle musique qui vous agace.
Finalement, le tout, ne profite qu'à d'innombrables firmes où il n'y a plus qu'une seule personne à vous répondre. Au moins que l'on puisse communiquer de personne à personne, PLUS CHACUN EST FRUSTRÉ CONSTAMMENT
bien plus que l'humain puisse tolérer, à en avoir des comportements excessifs. Notre comportement est un GRAND SIGNAL D'ALARME de notre corps et le cerveaux évidemment. Rien d'étonnant que diverses molécules qui doivent pas être dans notre cerveau, le fait agir en donnant des signes 'je suis complètement INTOXIQUÉ ' je N'EN PEUT PLUS
et c'est ce que la personne fait penser de plus en plus 'ma vie ne vaut plus la peine,
et arrive à se suicider. En fait la personne ne veut pas mourir, seulement débarrasser ce MAL ÊTRE qui le poursuit jour et nuit.
SI vous imposé trop de nourriture à la fois à votre estomac, vous allez avoir des nausées ou vomir , et là vous vous dites J'AI ÉTÉ TROP GOURMENT et vous y remédiez.
C'est le même principe pour le cerveau
C'est le même principe pour le cerveau, EN BIEN PLUS COMPLEXE.
Je suis rassuré de voit les nombreux commentaires qui pointent du doigt les limites de ce documentaire dont je ne remets pas en question les bonnes intentions. Quel dommage que les médias n abordent pas ces sujets sensibles avec l idée qu ils seront regardés par des personnes malades qui peuvent prendre des décisions impulsive tout aussi dangereuses comme l arrete brutal de traitement
Enfin ! Enfin ! Une vidéo qui parle du malheur des jeunes. On se décide enfin d'en parler personnellement je suis à la rue alors que je n'ai que 20 ans et je connais beaucoup de jeunes dans mon cas ou dans un cas similaire et personne n'en a rien à foutre. Il faut que la parole se libère !
"Le système d enregistrement des médicaments est dysfonctionnel du début à la fin ", tout est dit....
je suis un survivant du deroxat. je pensais que c'était moi le problème face à mes gestes suicidaires, je suis sous le choc. pensées pour toutes les familles, tous les jeunes.
Sevrage fait?
Excellente video merci de montrer la triste realité au gens. Tres tres rentable cette abonnement
Merci de nous faire réaliser à quel point nos suivis n’en sont pas,
Que le problème c’est pas nous,
Merci pour le reportage
Courage aux familles
Beaucoup de gens se font prescrire des psychotropes alors qu'il y a trop souvent juste besoin de parler. La liste des effets secondaires est énorme ! Depuis des dizaines d'années, les effets "paradoxaux" comme disent les soit disants spécialistes sont connus et ignorés volontairement. Les patients de ces dealers sont des pompes à fric qu'importe l'impact sur les victimes !! Regardez les études avant la mise sur le marché du prozac, des benzodiazépines... Le nombre de suicides, l'automutilation, les agressions violentes d'autres personnes sans raison, et surtout l'utiliser de ces molécules par la CIA et les organisations terroristes, les sectes pour manipuler les disciples....
Merci de mettre en avant ce sujet! et merci aux témoignages des parents et à Ariane Denoyel ! Comme le dit le père de l'un des deux garçons ( 17:43 ), les drames de ce genre sont répandus et systémiques! Ne faudrait-il pas aussi s'interroger sur la psychiatrie et le rôle des psychiatres dans leur façon de prendre en charge les patients? Une remise en question urgente est de mise semble-t-il.
D'accord pour que la psychiatrie evolue, mais il faut aussi arreter demander a tort a la medecine de soigner nos ames pour des problemes sociaux (hors maladie psychiatrique lourde). Discussions inter-generationnelles et philosophie + remettre de l'humanite dans la societe sont les remedes.
Souvent je me rappel qu'il y a 25 ans en arrière tu allais voir le médecin pour dire que tu avais un coup de mou, moins la motivation... tu te retrouvais avec des cures de vitamines et maintenant tu dis la même chose et tu te retrouves avec des anxiolytiques et autre anti-dépresseurs...
un coup de mou, une démotivation n'est PAS une dépression.
@scolopendreenporte-jarrete10 je suis tout à fait d'accord d'où les mots choisis pour la facilité d'accès à ce genre de médicaments. D'ailleurs dans les dépressions (mis à part les traitements) il est conseillé 3 choses essentielles : ne pas négliger le sommeil, le sport et l'alimentation
Merci pour ce reportage très qualitatif BLAST
Les stages en IFSI sont aussi très anxiogènes et la pression est telle que l'on perd confiance en soi, il y règne parfois une maltraitance en stage insupportable.J'en parle en connaissance de cause. Soutenez les stagiaires.
Je vue beaucoup de témoignages courage
Je suis heureuse de voir des personnes au courant des effets de ses médicaments. J'ai eu 3 médecins traitants et j'ai déjà vu deux psychiatres, mais aucun d'entre eux ne se savaient vraiment comment me les prescrire ni choisir lequel serait le mieux adapté. On ne peut nier le fait que ces traitements sont une béquille quand on est malade, mais au moindre symptôme indésirable ou même de l'innéficacité, il faut voir son médecin et insister pour changer voire arrêter le traitement, et ne pas "faire avec", comme ils le disent.
J'ai 19 ans et je suis sous anxiolytique et antidépresseur depuis 3 ans, j'ai décidé de prendre les taureaux par les cornes et demander à mon médecin traitant de commencer un sevrage de l'anxiolytique cet automne et arrêter l'antidépresseur au printemps. Je ne m'estime pas guérie de mes problèmes, mais ces traitements n'ont aucune efficacité dans mon quotidien, et au contraire, je me sens souvent agitée, je tremble et et j'ai beaucoup de pertes de mémoires. A la place de ce traitement, les meilleurs remèdes, dans mon cas, c'est la méditation , la sophrologie, une pause dans ses activités professionnelles ou scolaire, revoir totalement son quotidien et surtout, prendre le temps de se comprendre, et faire des choses pour soi.
Parlez à d autres patients en cours de sevrage. Faites vous aider et prevenez vos proches. La phase de sevrage des AD peut etre dangereuse, c est pour ca que les psys ne veulent pas les arreter.
Je suis révoltée….comment les industriels du médicaments espèrent qu’on ait confiance en eux, ils sont tellement opaques que ça sent forcément mauvais…j’ai de plus en plus de méfiance à leur égard, ils ne favorisent pas la santé des gens ils les tuent, les rendent accrocs en s’en foutant royalement, c’est l’argent qui les motivent, rien de plus. Si seulement ils étaient plus transparents, on pourrait faire la part des choses mais là, dans le doute, on ne peut plus compter sur eux.
Exactement
C'est à pleurer à mourir... Très bon doc instructif. Merci. Que ce "biais de financement" démontré dans les études sur les médicaments n'est pas nouveau et a même été démontré, chiffres à l'appui. Malgré ceci, l'UE et tous les états s'en tapent complètement et le confortent par leur inaction. Ça fout pas mal la haine, à juste titre. Ce n'est pas du complotisme ni du "dysfonctionnement" mais de la corruption.
Apres un probleme se pose , si les entreprise ne prouve pas l efficacité de leur traitements alors on doit tester toute les molecule que pondent ces entreprises au frais du contribuabl? pas sur que le service publique ai les epaules pour assumer tout ce travail.
Ou alors il faudrait que les labo finances les universités publique pour faire les etudes
@@chrisrotter3283 évidemment qu'il faut toutes les tester ces fucking molecules. Il n'y a même pas d'inventaire de toutes les molécules produites et disséminées sur cette planète. Il en était question dans l'UE il y a 20 ans et les lobbys chimiques ont fait pression pour que ça ne se fasse pas. Vous leur faites confiance ?
Et les académies qui ont des moyens que nous finançons déjà vous voulez les supprimer parce que les entreprises ne versent pas 1 kopek ? - Vraiment vous êtes génial
Merci d'avoir rendu publique cette affaire.J'ai pu rencontrer des familles victimes aux 3 journées de la maison des lanceurs d'alerte en 2023 à Paris et le docteur Healy
Les antidépresseurs prescrits par le Pr B a Nice m'ont provoqué 2 AVC, je précise que je n'avais eu ni tension ni jamais bu, ni fumé.
Et je venais d'être victime d'un méningiome de 8 cm de diamètre suite à la prise pendant 15 ans d'Androcur (
Merci pour ce doc et surtout bravo et merci aux parents pour leur force et leur combat.
16:36 "Et là, le médecin, sans hésitation, nous dit: "Je le prescrit à tout le monde" "
WHAAAAT ???!!! 😱
9 à 12 ans d'études pour prescrire un anti-dépresseur pour un gargouillement et d'ajouter qu'il le prescrit à tout le monde ????
J'y comprends rien du tout 😢
Ils servent le diable, mnt tu comprends?
Aberrant! 🥵
Merci !! Ce qui me choque c'est qu'on utilise toujours la solution de faciliter = le médicament...sans parler ou apprendre à connaître la personne.... Bourré de médoc c'est toujours plus simple !!
Merci pour cette enquête
j'ai eu de la paroxétine, c'est horrible cette merde : spasmes, anorgasmie (du coup problèmes de prostate), sommeil perturbé ; j'ai aussi entendu dire par un psychiatre il y a une vingtaine d'années que les antidépresseurs pouvaient donner la force de se suicider, alors que la dépression rend les victimes trop inactives
Oui, en raison de la levée d’inhibition causée par les antidépresseurs il faut faire très attention les premières semaines, il faut éviter d’être seul au début du traitement car il y a des risques.
Chacun réagit plus ou moins bien aux différents antidépresseurs: il faut parfois en essayer plusieurs avant de trouver le bon, ce qui est frustrant et difficile mais nous n’avons pas tous les mêmes effets. Personnellement la paroxétine est celui qui m’a aidé à me débarrasser de la dépression.
@@marie27023 je comprends, pour ma part c'est la venlafaxine qui m'a aidé, ça m'a donné du boost
Les parents sont d'une dignité incroyable en restant lucide et intelligent dans leurs propos. Admirable.
Si on synthétise, de riches laboratoires s'enrichissent avec l'aide des politiciens et administrations corrompus, tout en sachant qu'il sèment la mort par suicide.
Je ne suis pas surpris. C'est grave docteur ?
En tant que personne diagnostiquée dépressive depuis l'âge de 14 ans, je dirai simplement ceci : c'est la société dans laquelle on veut nous faire vivre qui ne va pas. Et ces événements en sont la preuve. A bientôt 60 ans, je trouve même que cela empire.
Cordialement
C’est bouleversant 😢
Merci infiniment de mettre au jours ce problème SI répandu !!! Que les médecins ne remarque même pas😪
Excellent reportage ! Merci
Merci pour ce reportage édifiant.
Vendre des cachetons pour vendre !! Rendre accroc, droguer légalement
S'il vous plaît, tant que vous y êtes, jetez un œil sur les conséquences des antipsychotiques de 1ere et 2e génération (effets secondaires graves, séquelles handicapantes, dommages sur les reins notamment) il y a eu l'affaire Médiator (à raison) pour moins que ça !
La psychiatrie tue
Merci Blast pour cet mise en lumière d'un problème grave. Courage aux familles ❤
J'ai 53 ans. Suite à un épisode difficile, avec mon ex compagnon, harcèlement, violence etc j'ai fait des crises d'angoisse. On m'a prescrit du xanax ( alprazolam). Petit à petit, le moral allait de moins en moins bien mais bon il y avait des facteurs extérieurs, déménagements en urgence et ... Donc je ne me suis pas mefiée .. et on me prescrit un anti dépresseur nouvelle génération. Horrible... J'ai vécu l'enfer.. je voyais tout en noir, que des idées noires, sombres, un cauchemar.. et ça m'a supprimé le sommeil. Je ne dormais plus. Ni la nuit, ni le jour, donc du coup, somnifères. Moi qui n'avais jamais pris de médicaments avant.. je savais que sur la notice il était indiqué qu'en début de traitement, ça pouvait augmenter les symptômes mais c'était insupportable. J'étais tellement mal que pour arrêter cette souffrance, des idées suicidaires commençaient à venir. Mon généraliste m'a changé 3 fois de traitement. Idem.. elle m'a envoyé voir un psychiatre. J'avais peur, qu'il me prescrive encore plus de médicaments. Et j'ai eu de la chance. Il m'a dit que ces molécules n'étaient pas pour moi. Donc il m'a fait arrêter de suite les anti dépresseurs ( ça faisait vraiment pas longtemps que je les prenaient donc sevrage sans danger). J'ai gardé le somnifère et suite à un emploi où je me levais à 4 h du matin, ça m'a solutionné mon problème d'insomnie...
Des années après, suite à une maladie très angoissante, on me represcrit l'alprazolam. Petit à petit, idées noires...j'ai cru retomber en dépression, il y a eu le debut du covid en plus, une opération chirurgicale délicate en perspective, enfin bref. Je prenais un comprimé que le soir pour dormir.
Et de jours en jours, idées noires, sombres, angoisse qui me tenaillaient sans relâche, et de nouveau des idées suicidaires comme seules solutions pour que la souffrance s'arrête. Et puis, suite à un phlegmon amydalien, j'ai eu un traitement de choc, antibiotiques anti douleur etc... J'étais tellement KO que je n'ai pas pris l'alprazolam pour dormir.. et là, magique, plus d'idées noires !
Donc je sais maintenant que ce produit provoque chez moi ces symptômes. Quant aux antidépresseurs, peut-être aussi. En tout cas les mélanges ne sont pas bons et provoquent souvent des interactions entre eux.
Après, c'est cas par cas. Ma belle sœur a pris un des anti dépresseurs que j'ai essayé, et chez elle aucun effet secondaire.. comme quoi...
Non pas que les jeunes
Perso moi c'est ma mère qui a voulu me forcer à en prendre, elle m'a forcée à aller chez le médecin, je n'ai jamais pris l'antidépresseur et comme j'allais mieux au 2ème RDV pour d'autres raisons, le médecin a dit que le médicament avait fait effet...
Quand il l'a prescrit, il parlait plus à ma mère qu'à moi et a dit "par contre, ça va pas changer son caractère !"... Parfois (pas dans cette vidéo) ce sont aussi les parents qui sont responsables. Certains donnent ça à leurs enfants car ils sont incapables d'empathie. C'est comme si ils donnaient du vin à un enfant pour le calmer parce que ça fait un peu ch*ier les enfants quand même...
Et moi aussi le médecin a dit qu'il n'y avait "aucun inconvénient" à prendre ça alors qu'il y a environ 95 effets secondaires notés sur la notice (sans compter les effets sur les nouveaux-nés après une grossesse). Puis sur la notice il n'y a pas écrit "automutilation" ou "homicide" par exemple que j'ai vu sur la revue Prescrire, mais à la place il y a écrit "comportement d'agressivité, d'opposition et de colère, d'agression envers soi-même". "homicide" c'est peut-être pas très fréquent j'en sais rien mais c'est pour dire que parfois ils essaient trop d'atténuer les choses, même sur la notice. Il y a aussi écrit sur la notice "Le mécanisme d'action de la paroxétine et des autres ISRS n'est pas complètement connu, mais ils augmenteraient le taux de sérotonine dans le cerveau."...
La psychologue que je voyais à l'époque aussi m'avait dit qu'il n'y avait pas de raison de s'inquiéter, que ça ne pouvait pas changer notre personnalité de prendre ça et m'avait conseillé de l'essayer pendant les grandes vacances (parce que j'avais des difficultés à l'école et je ne voulais pas me rajouter un problème de concentration ou autre) alors que j'avais pas vraiment d'amis et que je ne comptais plus voir cette psychologue. Quel est l'intérêt de prendre ça, tout.e seul.e ?
D'ailleurs, cette psy a même dit que j'étais têtue parce que je voulais pas le prendre, l'antidépresseur...
De plus, sur la notice il y a écrit que le médicament met 2 semaines à agir ou plus, mais dans la vidéo la mère de Florian a dit que son fils était décédé au bout de 3 semaines de traitement... Moi je ne voyais mon médecin qu'au bout de 2 mois après l'avoir "pris". Et quand on voit à 4 : 50 dans la vidéo les recommandations de haute autorité de santé, ils disent qu'il faudrait attendre 4 à 8 semaines pour évaluer l'efficacité du traitement...
Et si ça marche pas c'est soit on met un autre antidépresseur, soit on augmente la dose, soit c'est l'hôpital psy, autrement dit la prison... C'est vraiment choquant, en fait j'avais vraiment aucune autre issue à part faire semblant de le prendre...
Merci Blast, courage aux parents. Partage fait.
Merci pour cette information toujours pertinente. Pensée aux familles et merci à elle d’avoir témoignés
Mille merci à vous devant:
Les représentants, et medias dominant privé comme public (98%)des milliardaires Français sont devenu le passe plat de racisme, antisémitisme, islamophobie et propagandiste de néolibéralisme .
Un peu hors-sujet mais très vrai.
2:28 aller voir un psychiatre pour faire une psychanalyse?? Il est pas plutôt là le problème de la psychiatrie?
Aussi.
Souvent il peut y avoir une cause psychologique à la dépression.
@@michelh2654 guillaume pointe le recourt à la psychanalyse qui n'a aucune preuve d'efficacité depuis son invention... contrairement aux TCC thérapie cognitivo-comportementale par exemple.
@@omicron4714 pas d'accord, il existe des réussites
@@michelh2654comme l'homéopathie 😏😊.
Merci à ces parents.
Notable aussi la confirmation des témoignages par ces professionnels.
Super sujet, exécution et pistes.
Ce long format est de grande qualité, bravo. Merci !
Effectivement, il faut faire circuler l'information. Il faut de la concertation et bien sûr prendre en compte la parole des patients (et de l'entourage).
Les médicaments doivent nous soigner. La santé n'est pas un business.